La semaine est passée sans que je la voie. Nous sommes déjà vendredi. Ne travaillant pas ce jour-là , je passe ma journée à la cuisine. Je suis seul à la maison alors j’en profite pour parfaire le dîner prévu ce soir. Nous accueillons Candice, l'amie de Léonore, la rousse incendiaire. Je ne sais pas pourquoi mais je sens une forme de stress positif m’envahir à mesure que les heures passent.
Je prends une douche, me rase, me parfume légèrement et m’habille d'un pantalon de lin blanc et d'une chemise écrue. Il est dix neuf heures et l’arrivée de Candice est prévue pour vingt heures trente. Je dresse la table avec une attention particulière portée aux détails. Je la nappe d'un tissu gris sombre sur lequel je superpose un chemin de table rouge bordeaux. J'ai disposé trois assiettes, des verres à vins, à eau et un assortiment de couverts.
Au moment où je retourne au four pour surveiller la cuisson de mon plat principal, Léonore rentre chez nous. Elle range son lourd manteau, dépose son sac à main sur un petit buffet d’inspiration asiatique et me rejoint. Elle est toujours solaire quoiqu'il arrive et ce soir, elle ne déroge pas à cette règle.
Je me retourne vers elle et lui rend son sourire.
Léonore soupire, excédée.
J'ouvre les bras et invite ma belle fille à venir se blottir contre moi. Elle ne se fait pas prier et se love entre mes bras. Je dépose un baiser sur le haut de sa tête.
La jeune femme serrée contre mon torse lève les yeux et me donne un baiser sur le menton.
Je colle ma joue contre celle de Léonore encore fraîche du temps passé dehors pour la rassurer.
Leonore se détache de moi et s’enfuit vers la salle de bain. En passant la porte, elle se retourne et me taquine.
Je rougis et balbutie une réponse sans y croire vraiment.
Ma belle-fille disparaît et me laisse seul avec mes pensées. C'est vrai que je trouve Candice très jolie et sûrement a t-elle raison en disant que je veux exercer mon charme mais je n’imagine pas une seconde faire quelque chose avec elle. Je me concentre sur mes préparatifs pour penser à autre chose.
Plusieurs minutes plus tard, Léonore me rejoint dans le salon, je suis soufflé par sa beauté. Elle s'est remaquillée et changée. Elle a passé un haut pourpre court qui dévoile son ventre au nombril orné d'un petit pendentif brillant. L’échancrure de son haut laisse entrapercevoir la dentelle de son soutien gorge qui maintient sa petite poitrine. Je baisse les yeux et remarque son mini short assorti à son haut qui galbe délicieusement ses fesses rondes. Ses jambes sont gainées de bas cuissardes transparents.
La jeune femme s’allonge dans notre canapé de cuir beige dans une pose lascive. Je m’assois à côté d’elle et caresse sa jambe tendrement. Elle me jette un regard coquin puis fixe la petite pendule qui repose sur une étagère au-dessus de la télévision.
Amusé, je lui donne une petite tape sur les fesses.
Le rire cristallin de Léonore résonne dans la pièce.
Je n’ai pas le temps de lui répondre. La sonnette de l’interphone tintinnabule dans l’entrée. Je me lève, fait les quelques pas qui me séparent de l’appareil et déverrouille la porte d’entrée. Quelques secondes plus tard, le bruit de l’ascenseur gronde dans le couloir et des talons claquent sur le carrelage. J'ouvre la porte et pour la seconde fois de la soirée, je suis époustouflé.
Candice, gracieuse, enlève son manteau long gris foncé rehaussé d'une petite bande de fourrure au col. Elle révèle alors complètement ce que j’ai entraperçu fugacement et qui m’a rendu muet. Elle n’est habillée que d'un tout petit short noir et d’un maxi gilet bleu canard qui lui tombe jusqu'aux pieds. Une très large ceinture à pampilles, dont les très fines chaînettes argentées dansent en cliquetant sur ses hanches à chacun de ses pas, lui serre le ventre. La bande de cuir ornée de plusieurs boucles sublime la taille fine et les hanches larges de la jeune femme souriante. Le maxi gilet ne dissimule pas grand chose de son corps. Les pans qui se rejoignent par un unique gros bouton au niveau de son ventre cachent à peine ses seins voluptueux n’en laissant voir qu'une infime partie. Il est clair qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Un tatouage floral noir très détaillé descend de ses clavicules jusqu'à son nombril. Je ne l’avais pas remarqué quelques jours auparavant aussi je pense que c'est une décalcomanie, un accessoire très en vogue chez les jeunes. Ses longs cheveux roux sont ramenés à l’arrière de sa tête et tenus par un chignon très élaboré. Deux grandes aiguilles agrémentées de fleurs de sakura maintiennent sa chevelure flamboyante. Son visage s’illumine quand elle me voit. Elle s’approche de moi, pose une main gracile mon épaule et me tend la joue pour me faire la bise. Son parfum doux et fruité titille mes narines. Je reconnais l’odeur caractéristique d’Hypnotic Poison de Dior, c'est l'un de mes parfums préférés. Est-ce le sien au quotidien ou Léonore lui aurait-elle vendu la mèche?
Je m'efface de l’entrée, toujours sans voix, et l'invite à entrer chez nous d'une main. Elle me tend son manteau et alors qu'elle me dépasse, je la regarde marcher vers le salon tandis que je referme la porte derrière elle. Ses escarpins Louboutin aux très hauts talons qui cambrent exagérément ses reins et sa démarche féline lui donnent une allure de mannequin. Léonore se lève et la serre dans ses bras. Elle me jette un clin d'œil taquin par-dessus l’épaule de son amie avant de la complimenter sur ses vêtements.
Mon trouble est tangible. Ma gorge s'est asséchée d'un coup et j'ai du mal à aligner une phrase complète.
Mal à l'aise, je sur réagis et devient cramoisi. Mon visage brûle littéralement. J’entre rapidement dans notre dressing et y range le manteau de Candice. Seul, j’inspire et expire plusieurs fois pour évacuer mon stress et retourne dans le salon. Mes jambes et mes mains tremblent très légèrement mais j'ai retrouvé de la contenance. Leonore et Candice sont toutes les deux assises sur le bord de l’assise, leurs jambes croisées. Je les contourne et ouvre le buffet où sont rangés les apéritifs et m'agenouille entre les deux portes ouvertes.
Les deux amies se retournent et s'accoudent de concert au dossier. Malgré son sourire, je remarque de la tristesse dans le regard de Candice. Un sentiment qu'elle tente de réprimer. Léonore se décide en premier.
Candice jette un regard interrogateur à Léonore avant de tourner la tête vers moi. Ses yeux verts en amande ne pétillent pas comme ce jour où je l'ai rencontrée.
Je choisis trois petits verres, referme le buffet et ouvre la cave à vin réfrigérée où est rangée la bouteille de Saké. Je verse le liquide transparent avec déférence et tend un verre à mes deux convives puis lève le mien.
Léonore lève son verre à son tour en souriant.
Enfin, Candice lève le sien mais son sourire manque de vivacité.
Je m’assois en face des deux femmes dans un fauteuil assorti au canapé. Alors que je sirote doucement l’alcool en le faisant tourner dans le verre à pied, j'écoute les deux amies discuter. Je comprends que l’ex de Candice la harcèle. Au bout de longues minutes, je décide qu'il est temps de passer à table.
D'un même geste, Venus et Aphrodite se lèvent et rejoignent la tablée. Ce soir, je serai à la fois cuisinier et serveur. Voulant marquer les esprits, je me suis inspiré de recettes de grands chefs pour préparer ce dîner. L’entrée, un carpaccio de queues de langoustes braisées aux agrumes précède un simple plat de pâtes aux noix de St Jacques. Alors que nous dégustons les mets fins, je regarde en silence les deux femmes. Elles discutent de tout et de rien, se souviennent de leurs vies à la fac, de leurs élucubrations en soirée et de leurs plans cul. Elles occultent complètement ma présence discrète mais cela ne me gêne pas. Je prodigue de temps en temps une blague. Mes mots ont le mérite de faire rire Candice qui redevient peu à peu celle que j'ai connu au magasin l'autre jour. Le vin aide grandement à la dérider car je débouche la seconde bouteille avant même que le plat principal ne soit avalé.
Tout au long du repas, mes yeux sont irrémédiablement attirés par le décolleté abyssal de Candice. Parfois, quand elle se sert un verre de vin, le tissu de son gilet laisse deviner un sein à la peau douce et laiteuse. Ses yeux verts, subtilement maquillés, éclairent son visage constellé d'une multitude d'éphélides. Quand elle rit, les mêmes fossettes que Léonore apparaissent aux coin de ses lèvres charnues peintes dans un rouge sombre. Son nez est petit et légèrement retroussé. Son visage juvénile aux proportions parfaites a souvent une expression innocente tout à fait craquante. Quand elle écoute Léonore, ses sourcils roux, épilés en deux traits fins, se froncent et une ride du lion à peine marquée apparaît entre eux. Elle est très expressive dans ses mimiques. Cette femme n'est pas juste magnifique, elle est hors du commun.
J'ai du mal à suivre les conversations, happé par l’extraordinaire beauté des deux femmes qui m'accompagnent J’entends sous la table les bas de Léonore qui se frottent quand elle croise et décroise ses jambes et je dois dire que ce simple bruit éveille en moi un désir brut. Je regarde leurs mains prendre leurs verres, leurs couverts et je les imagine tenir un sexe d’homme entre leurs doigts. Elles sont une ode à la sensualité et à un hommage à la sexualité. Je suis terriblement chanceux de pouvoir contempler ces œuvres magistrales.
Je me reconnecte d'un seul coup à la réalité du moment.
Les deux femmes me regardent intensément. Mon air ahuri confirme leurs impressions.
J’élude la question en riant fort.
Je regarde dans les yeux Léonore et Candice et me sens encore rougir.
Candice se lève et marche vers le canapé où elle s’affale immédiatement suivie de Léonore. Elle se cache la bouche d'une main et rigole légèrement.
Interloqué, je lève un sourcil et fait une moue approbatrice.
Elle se déchausse et laisse tomber ses escarpins devant elle avant de replier ses jambes sous ses fesses.
Je saisis délicatement le verre par son pied, le tend à la rousse et pose la bouteille sur la table basse avant de m'asseoir à mon tour dans le canapé, un peu à l'écart des jeunes femmes. Leur discussion reprend de plus belle et moi, je retourne dans ma contemplation. Après presque une heure d’échanges amusants et une autre bouteille consommée, Léonore se lève précipitamment.
Elle disparaît presque en courant. Je la regarde s’en aller, amusé. Mon œil averti constate qu'elle titube imperceptiblement. C'est alors que Candice s’allonge sur le canapé et pose sa tête sur mes cuisses.
Embarassé, je ne sais où poser mes mains mais je n'ose pas la rabrouer.
Elle passe une main sous sa tête, directement au contact de ma cuisse et me parle sans me regarder.
Je ne sais trop quoi répondre.
La jeune femme me répond d'une voix lasse.
Doucement, je pose ma main sur le front de Candice qui se retourne sur le dos et me fixe de ses deux émeraudes. Elle a défait son chignon un peu plus tôt pendant le dîner et sa chevelure tentaculaire s'étale maintenant sur mes genoux. Je passe avec tendresse mes doigts entre ses larges mèches bouclées.
Je reste muet. Ma fille et son amie avaient passé une bonne partie de la soirée à dénigrer ce mec et je dois avouer qu'il l’a amplement mérité. Alors que je plonge mes yeux dans ceux de Candice, je remarque du coin de l'œil que son gilet a un peu glissé de sa ceinture et baille. Il dévoile à mon regard la pureté de la forme d'un de ses seins. Grisée par l’alcool, elle ne s’en rend pas compte et ne le réajuste pas. Je relève la tête et, stoïque, dirige mon regard vers un point du mur en face de moi. Je peux escamoter mon regard mais ce qui se passe dans le tissu léger de mon pantalon lui ne peut pas se cacher. Je remue sur mes fesses pour tenter de dissimuler mon émoi.
Candice continue de parler et ne semble pas s’offusquer de mon début d’érection. À présent, je peux presque voir l’entièreté de ses deux seins tant son gilet est lâche. Je continue de lui caresser la tête délicatement et passe mon autre main derrière ma tête pour attraper le dossier. Je parviens à me concentrer et occulte sa poitrine à moitié mise à jour. Je respire à fond. Dois-je lui dire? J’hésite. Après tout, c'est agréable d'avoir sur ses genoux cette créature merveilleuse. Et Léonore qui est partie depuis quelques minutes et ne revient pas, que fait elle? Je parviens après une longue hésitation à bafouiller quelques mots.
Je saisis délicatement le bord du gilet pour le tirer et recouvrir les seins de Candice mais elle pose sa main sur la mienne et la guide doucement vers sa peau.
Je bégaye, sentant la chaleur de la poitrine gonflée sous ma paume.
Candice imprime une légère pression sur ma main. Sa peau est douce, son sein est ferme. Je sens entre mon index et mon majeur son téton qui commence à pointer sous ma caresse. Je ne cherche même pas à retirer ma main, hypnotisé par mes sensations.
Mon coeur rate un battement et frappe contre mes côtes. je tente une petite blague pour me sortir de l’impasse où je me trouve.
Candice silencieuse, les joues empourprées, se redresse, passe une main derrière ma nuque, m’attire vers elle et colle sa bouche contre la mienne. Je sens sa langue lécher mes lèvres, s’immiscer entre elles et chercher la mienne qui ne tarde pas à accepter l’invitation. Ma main se glisse sous son col et malaxe avec tendresse son sein nu quelques secondes puis passe dans son dos et la serre contre moi. Je ferme les yeux et lui rend son baiser avec gourmandise. Je mange sa bouche, son menton, sa mâchoire, plonge dans le creux de son épaule. Elle rejette sa tête en arrière et s’offre à mes baisers brûlants. Le désir que je ressens pour elle brise toutes les barrières que j’ai érigées et inonde mes synapses. Je caresse sa joue, son cou alors que nos langues échangent nos salives encore chargées des arômes de vin. Nos respirations haletantes s’entremêlent alors que nous nous laissons emporter par la fougue de notre embrassade.
Candice se relève et d'un geste souple chevauche mes cuisses. Elle attrape ma tête à deux mains et me pousse dans l’échancrure de son gilet. Je prends ses seins, les masse, titille ses tétons entre pouces et index tout en goûtant sa peau avec gourmandise. Elle se trémousse sur moi, oscille du bassin d’avant en arrière, simulacre de coït, et dévore mon visage. Mes mains saisissent ses hanches l'attirant davantage vers moi puis glissent dans son short. Elle ne porte pas de culotte, j'agrippe ses fesses nues, plante mes ongles dans sa chair. Sensuelle et animale, la rousse mord mes lobes d’oreilles et soupire, se cramponne à mes cheveux et tire ma tête en arrière pour ouvrir le champ à ses lèvres ardentes. Mon sexe gonfle dans mon caleçon, se tend et se cale sous Candice qui, de ses fesses, me masturbe sans retenue.
Une voix susurre à mon oreille droite.
Léonore éclate de rire puis se penche vers son amie et charnelle, saisit à pleine main les cheveux de Candice, la tire vers elle et l’embrasse à pleine bouche. Candice ne semble pas troublée outre mesure et avidement, elle l’embrasse à son tour tout en continuant de se frotter contre moi. Je relève la tête vers ma belle-fille.
Léonore laisse ses ongles griffer le tissu sur mes épaules.
Léonore tend la main à Candice qui la prend. Leurs doigts s’entrecroisent. Silencieusement elle se lève à l’invitation tacite.
Je quitte le canapé et constate que Léonore a enlevé son petit short et l’a jeté au sol. Sa culotte de dentelles est mouillée. J’en déduis que Léonie nous observe depuis un moment, en se caressant probablement, avant de se décider à nous interrompre. J’appuie mon épaule contre le chambranle de la porte de notre chambre et regarde les deux femmes qui se dirigent vers le grand lit. Séquelles du traitement de Candice, mon cœur bat la chamade, mes mains tremblent et mes jambes sont en coton. La vision de Léonore en bas cuissardes, string noir de dentelle fine et petit haut court rajoute un cran à mon niveau d’excitation.
Léonore assoit délicatement son amie et se place derrière elle. En me regardant, elle fait glisser lentement le gilet sur les épaules de Candice qui se laisse faire, la tête en arrière, les yeux fermés, appuyée sur la poitrine de Léonore. Ma belle fille passe ses mains sous les deux lourds seins de Candice, les soupèse, les soulève et les palpe langoureusement. Elle agace du bout des doigts les aréoles roses puis pince ses tétons. La peau de Candice se grêle de chair de poule. Les doigts de ma belle-fille défont rapidement les boucles de la large ceinture et l’enlève avant de la jeter négligemment au pied du lit rapidement suivi du maxi gilet. Elle déboutonne le short de notre invitée et plonge derechef sa main par l'ouverture pour lui caresser l’entre-jambe. Candice se mord la lèvre, soupire doucement et se cambre pour faciliter le passage de Léonore qui mord son épaule et son cou.
Le spectacle qui s’offre à moi excite mes sens. Les mains dans les poches, je caresse mon membre déjà gonflé de sang. Candice, soumise, gémit sous les caresses de Léonore. L'habit, très court, ne cache absolument rien de ce que lui fait subir Léonore. Elle la doigte habilement. Ma belle-fille, sans enlever sa main du short, allonge son amie sur le matelas. Elle lèche son corps, s’attardant sur le cou, les tétons et le ventre de la rousse qui écarte les jambes et se tord de plus en plus. Emportée par les vagues délicieuses du plaisir, elle lâche de petits cris d’extase, des gémissements érotiques qui me mettent des papillons dans le ventre. Je regarde avec un intérêt libidineux la torture sensuelle que Leonore inflige à Candice.
Léonore retire sa main et met ses doigts luisants dans la bouche entrouverte de Candice. Elle est impérieuse comme à son habitude mais sa voix est voluptueuse.
Candice, abrutie de plaisir, lève les yeux vers Léonore, le regard vitreux débordant de désir.
La rousse s’exécute et laisse glisser le short le long de ses longues jambes avant de s’allonger et de plonger ses doigts dans son intimité humide. Dans le même temps, Léonore enlève son haut pourpre et dégrafe son soutien-gorge libérant ainsi sa paire de petits seins. Elle me regarde, enflammée, puis tend une main et me fait un petit signe de son index
Je soupire d’excitation anticipée et m’approche lentement des deux femmes. Je sens l'épaisse moquette passer entre mes orteils, mes sens sont aiguisés, mon cœur palpite. Dans la chambre monte doucement l’odeur exquise du stupre.
Sans rechigner et sans un mot, je déboutonne ma chemise et enlève rapidement mon pantalon. Alors que je baisse mon caleçon, mon sexe délivré se détend comme un ressort. Léonore sourit largement en voyant la qualité de mon érection.
Leonore, en maîtresse de cérémonie écarte sans ménagement les jambes de Candice et dévoile la petite pelouse rousse bouclée jusque-là cachée par sa main fébrile.
Je me penche en avant, laisse ma langue courir sur les pieds, les mollets puis les cuisses de la jeune femme qui frissonne. Mes mains frôlent la peau de l’intérieur de ses cuisses et viennent doucement caresser les abords sensibles du sexe offert. Candice pose ses pieds sur mes épaules et se dévoile complètement. Les petites lèvres dépassent largement, corolle pailletée de gouttes de rosée que je goûte du bout de la langue. Candice est sucrée, complètement différente de la saveur de Léonore. Ma main gauche remonte vers son pubis et le pousse légèrement vers le ventre pour délicatement ouvrir l’Iris rose. J’introduis ma langue entre ses pétales et vient cueillir le pistil. À pleine bouche, je me gorge de nectar comme un colibri butine sa fleur. De ma main droite, j’écarte les excroissance, dévoile à mon exploration buccale l’entrée du réceptacle floral et y insère progressivement un doigt puis deux.
Léonore s'assoit près de nous, écarte ses cuisses et commence à se caresser en nous regardant. Ses lèvres coincées entre ses dents, elle glisse en elle ses doigts puis véhémente, tournicote autour de son clitoris. Sous mes coups de langue, Candice se contracte, arque son dos et gémit de plus en plus fort. Les mains de Léonore se saisissent de mes cheveux et me poussent le visage contre la vulve trempée de Candice dont les reins impriment un petit mouvement de bas en haut, accentuant ma caresse. Des plaques rouges apparaissent à la base de son cou et sur sa poitrine peu de temps avant qu'elle ne crie son plaisir en atteignant l’orgasme. Dans ma bouche, une explosion d’effluves, les sécrétions de Candice, plus visqueuses mais moins abondantes que celles de ma belle-fille, émoustillent mes papilles.
Léonore me tire la tête en arrière sans ménagement et s’approche de mon oreille où elle susurre son ordre suivant.
Je tourne mon visage brillant de cyprine vers ma belle-fille et croise son regard. Elle prend visiblement énormément de plaisir à nous dominer de la sorte. Je m’exécute et m’allonge à mon tour. Léonie sort alors des cordelettes qu'elle avait caché sous les oreillers et au pied du lit. Elle me lie les poignets et sert fort ses nœuds. Leurs extrémités, attachées aux pieds du sommier, me contraignent à accepter mon sort, je ne peux plus bouger. Je suis devenu un objet de plaisirs. Sans le savoir, ma belle-fille réalise là un fantasme profondément enfoui en moi. C'est donc cela qu'elle préparait en me laissant seul avec Candice dans le salon. Cette fille saura toujours me surprendre. J’exulte intérieurement.
Léonore saisit mon membre dressé d'une main ferme et me masturbe le temps de quelques aller-retours. Elle se tourne vers Candice qui ne s'est pas encore remise de son orgasme clitoridien.
Candice rougit perceptiblement. Léonore glisse une main derrière sa nuque, l’attire vers elle et l’embrasse goulûment puis guide sa tête vers mon chibre gorgé de sang dressé tel un phare.
Candice se laisse faire et ouvre sa bouche pour accueillir mon gland turgescent. Je ferme les yeux à la sensation chaude de la bouche qui m'aspire. Léonore applique de sa main un rythme à la fellation. Elle pousse mon dard plusieurs fois au fond de la gorge de la jeune femme. Parfois, le mouvement est trop appuyé et Candice réprime une nausée. Voyant que cela la fait pleurer, je demande gentillement à Léonore de bien vouloir calmer ses ardeurs.
Ma belle fille me jette un regard sévère et jette ses cuisses au-dessus de ma tête.
Léonore s’assoie sur mon visage me donnant son sexe en pâture. Elle ondule des hanches sur ma bouche ouverte. Je sors la langue et la fouille ardemment pendant que la jeune femme relève Candice et l’embrasse en mordant ses lèvres.
La rousse acquiesce en silence et s’accroupit au-dessus de moi. Son maquillage a coulé sur ses joues. Elle attrape mon membre, le guide vers son entrée sacrée et s’abaisse lentement. Centimètres après centimètres, elle s’empale sur moi. Je me sens écarter ses parois alors que j’entre dans son vagin très serré. Doucement, Candice commence à bouger lentement son bassin de haut en bas. Elle pose ses mains sur mon torse et soudain, sans prévenir, se transforme en bête sauvage. Elle me chevauche sans pitié. Ses cheveux volent en tous sens alors qu'elle secoue sa tête à chacun de ses coups de reins. Coincé sous les fesses de ma belle-fille, je subis l'assaut sans pouvoir exprimer mon plaisir. Mon érection est presque douloureuse tant la rétention de sang dans mon muscle caverneux est importante. Mon plaisir est immense, des étincelles dansent devant mes yeux tandis que l’asphyxie me guette.
Léonore me libère de son emprise et je prends un grand bol d’air salvateur mais presque immédiatement, elle fourre dans ma bouche sa culotte trempée. Son goût envahit ma bouche et mes narines. Je ferme les yeux d’extase.
Candice s'allonge sur ma poitrine et écarte les jambes tandis que Léonore me monte à son tour. Sans ménagement, ma belle-fille coulisse sur ma flèche et se penche en avant pour enfouir sa tête entre les cuisses ouvertes de Candice. Me connaissant par cœur, elle s’arrête au moment exact où je vais exploser puis recommence. Elle m'utilise comme un vulgaire godemiché et j'avoue adorer ça. Sur ma poitrine compressée par le poids de Candice, il semble que la rousse aime également ce traitement car elle ne tarde pas à être secouée de spasmes incontrôlés alors qu'elle jouit encore une fois. Léonore choisit ce moment exact pour se libérer et je sens mes cuisses se tremper des fluides qui dégoulinent abondamment de son sexe. Elle attrape les cheveux de Candice et lui intime en chuchotant l'ordre de continuer sa fellation interrompue plus tôt.
Léonore défait les liens en prenant tout son temps tandis que je sens la langue de Candice me lécher. Assise de tout son poids sur mon torse, elle caresse de sa bouche ma hampe, gobe mes testicules et laisse sa langue courir sur la peau de mes cuisses comme un chat lape un bol de lait. Ma belle-fille me sourit, elle prend son rôle de dominante très à cœur. Alors que je porte ma main à ma bouche pour en extirper sa culotte, elle la repousse violemment.
De ma position, je vois le dos et les larges hanches de Candice devant moi. Léonore l’attrape par la taille et la place juste devant mon dard tendu puis se saisit du membre et de l'autre main me propulse au fond de son amie.
Je fais quelques aller-retour quand Léonore pose sa main sur mes pectoraux et me bloque dans mes ardeurs.
Elle se penche en avant et crache sur l'anus de Candice avant d'y insérer un doigt sans ménagement. La belle rousse miaule et cambre ses reins pour accueillir l’index fourrageur. Léonore prend mon phallus, me tire vers elle et le place juste devant l'œil distendu par son doigt. De nouveau, elle fait couler un filet de salive et lubrifie le petit trou de Candice.
Je saisis fermement le bassin de Candice et entre en elle doucement pour ne pas lui faire mal. Elle se cambre à s’en casser les lombaires, soulève sa croupe aussi haut que possible tandis que ses seins touchent le matelas. Je pousse, lentement et mon gland élargit le passage restreint. Je sens les muscles de la jeune femme protester puis abdiquer alors que j’entre dans son fondement. Arrivé au bout, je me retire lentement puis recommence mon manège. Candice serre les draps entre ses doigts. Son visage n’exprime pas la douleur, bien au contraire. Je m’enhardis à accélérer le mouvement entre ses fesses et bientôt, mon ventre frappe contre elle avec force dans un rythme soutenu. Ma belle-fille qui s’était placée derrière moi passe une main entre mes cuisses et masse mes testicules en me poussant sur le bas du dos. Parfois, elle donne une tape sèche sur le fessier offert par Candice, déclenchant ainsi de petits cris lubriques qui intensifient mon excitation. Candice m’exhorte de sa voix éraillée.
Je deviens presque fou de plaisir et accélère mes coups de boutoir. Parfois, alors que mon gland sort de son petit cul, un pet involontaire expulse l'air comprimé mais cela ne m’arrête pas. Léonore quitte son poste et se glisse sous son amie en missionnaire.
Je halète, essoufflé par l’effort mais je ne peux pas faillir aussi je me concentre et alterne entre les deux femmes offertes à moi. Tantôt je pénètre ma belle-fille qui a enroulé ses jambes autour de la taille de Candice, tantôt je prend Candice par ses deux orifices.
Nos cris se mélangent et résonnent dans la chambre à coucher. Notre ébat devient bestial, l’odeur de nos sexes excités envahit la pièce, senteurs épicées, mélange de nos parfums, de sueur et de cyprine. Je sue abondamment, maltraité par Léonore qui m’enjoint par ses mots obscènes à donner tout ce que je peux pour leur plaisir. Je ne pense plus à rien, je suis obnubilé, hypnotisé par les sensations de mon sexe maltraité pénétrant vigoureusement leurs chairs moites, par les sons de notre coït animal.
Une nouvelle fois, Léonore nous sépare Candice et moi puis, à son tour, elle se met en position de levrette. Elle enjoint Candice à se placer tête bêche sous elle. Elle tourne sa tête, me regarde par-dessus son épaule et me montre de son index son propre anus.
Ses sécrétions abondantes ont trempé ses fesses et son sillon, il est inutile de la lubrifier davantage avec de la salive. Elle prend ses fesses à pleines mains et les écarte sans équivoque.
Je guide mon sexe vers la petite rondelle de ma belle fille et introduit sans difficulté mon gland dans l’orifice. Il glisse, s'étire et m’accueille chaleureusement. Je passe mes jambes au-delà de celles de Léonore et serre ses deux petits seins de mes deux mains. Je donne de furieux coups de reins verticaux et entre virilement dans le ventre de ma belle-fille. Elle pousse des cris rauques à chaque fois que mon ventre tape sur ses fesses. Parfois, elle plonge sa tête dans l’entre-jambe de Candice et dévore son sexe avidement. Sous elle, Candice, tout en se caressant vigoureusement, aspire le sexe dégoulinant de Léonore, fouille de sa langue agile ses pétales détrempés et décuple le plaisir de mon fourreau.
Léonore ne tarde pas à exploser. Elle expulse un jet puissant qui éclabousse mes jambes et le corps de Candice mais je ne m’arrête pas pour autant. Sous moi, Léonore tremble, ses muscles sont secoués de spasmes violents, sa respiration se saccade, ses cris s'étouffent dans sa gorge, ses yeux se révulsent. Enfin elle vient. Elle hurle à pleins poumons son orgasme qui dévaste son corps. Son petit cul serre très fort mon braquemart mais je reste stoïque et continue mes mouvements puis Léonore rend les armes et souffle sa reddition.
Aussitôt sa phrase prononcée, j’explose en elle. Mon orgasme illumine mes yeux d'étincelles et inonde mon cerveau de dopamine. Telle une bête, j'éructe, explose de rire, brame et serre contre mon ventre les fesses de Léonore, me presse au fond d’elle. Je suis moi aussi secoué de soubresauts. L’effet se dissipe rapidement, je halète, je renifle puis me retire lentement. Son anneau laisse échapper de l’air, des bulles blanchâtres explosent dans un bruit humide puis un flot de semence s’échappe d’elle par saccades et suit la vallée de sa fente entrouverte que Candice lèche comme une friandise. Mon sperme coule sur le visage de la rousse, dans sa bouche, sur ses cheveux. Elle ferme ses paupières et, gourmande, passe sa langue sur ses babines. Amorphe, Léonore se laisse choir sur son amie qui continue son cunnilingus et semble ne vouloir laisser aucune goutte de mes sucs. Achevée, ma belle-fille rit silencieusement.
Je me laisse aller en arrière et tombe à leurs côtés, vidé de mes forces. Les deux femmes se séparent, s’allongent et posent leurs têtes sur ma poitrine. Elles croisent leurs jambes sur les miennes. Nos corps nus s’entremêlent une dernière fois. Les yeux fermés, nous cherchons notre souffle. Nos cœurs battent à l’unisson encore sous l’emprise de notre partie de jambes en l'air épique. Nous n' ouvrirons nos yeux que le lendemain matin, à l’aube, lovés les uns contre les autres dans les draps souillés.
Je souris au souvenir agréable de nos corps mélangés et me lève discrètement sans éveiller Vénus et Aphrodite qui ronflent dans mon lit. Je remonte doucement la couette sur les beautés sculpturales toujours nues et m'éclipse sous la douche. Alors que le jet puissant brûle mes épaules, je revis la soirée et ne parvient pas à croire en ma chance d’avoir possédé deux aussi belles femmes. Les images fugaces, telles un film silencieux, passent en boucle derrière mes paupières fermées. Je sens mon sexe qui palpite et se redresse lentement aux souvenirs excitants. Cette soirée aura été mémorable. Finalement, nous avons eu un dessert inattendu. Celui que j'ai préparé et qui attend son heure dans le frigidaire servira de petit-déjeuner.
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