Il va me falloir quelques récits pour vous narrer la transformation d'une femme du monde, pudique,timide et réservée en une Salope de grande classe ; dans une relation qui dure depuis quelques années maintenant. Il va sans dire que vu le nombre de projets sexuels inventifs dont nous sommes friands, il y a lieue de penser que ce n'est pas demain que nous nous lasserons de ce qui nous fait en nous offrant de biens belles jouissances.
J'ai connu Gourmande, veuve sexagénaire, qui n'avait connu qu'un seul homme, par le biais du monde associatif et dans la pratique du sport loisir de plein air (pétanque) et du tarot par jours de mauvais temps ou de grand froid attablés dans le club house du club.
Première activité en commun lors d'un concours de pétanque où je l'ai eu comme équipière puis premier contact physique appuyé de nos jambes sous une table pendant que nous jouions aux cartes.
Elle se montrait réservée malgré tout, rougissant de mon audace et de ce qu'elle ne se croyait plus désirable. Moi, la cinquantaine, célibataire libertin, aimant la gente féminine, je me faisais fort de jour en jour de la séduire. J'appréciais sa forte poitrine, ses hanches larges et estimais bien dommage que son veuvage la privait trop tôt de sexe et donc j'entrepris de créer entre elle et moi,une relation plus conviviale. Une soirée anniversaire me permit de l'inviter et elle s'étonne encore aujourd'hui que j'ai pu la convier à cet événement. Plus tard, une panne de son ordinateur me permit de me rendre chez elle et donc de connaître son lieu de vie. Il m'a fallu deux interventions pour résoudre son problème informatique avec sans doute un zeste de volonté à ne pas trouver la panne de suite. J'aimais le côté intimiste de ces rencontres où il n'y avait que nous et je sais qu'elle les appréciait autant. Ne voulant en rien la brusquer mais aussi à ne pas tout gâcher par une maladresse, je ne fis rien, même pas une allusion alors que je la sentais bien disposée même si timide. Puis vint une première invitation à dîner. Resto asiatique, bel échange de propos, confidences pour confidences, et à la fin osant lui dire l'intérêt que je lui portais. Premier baiser sur le trottoir devant le restaurant et je la laissais rentrer seule chez elle, sachant au vu de l'émotion causée, qu'elle avait mouillée sa culotte. Je la savais prête à devenir une partenaire qui me permettrait d'assouvir une pleine sexualité et que si tel était le cas, elle deviendrait Ma Salope idéale. Le temps jouait pour moi maintenant et je sentais une certaine impatience de sa part lors de nos rencontres au club, où je me faisais charmeur (c'est ainsi qu'elle me voyait) pour entretenir la flamme, pas encore rallumée, de ses envies. Il était évident que je l'intéressais et que toute femme du monde qu'elle était, il y avait du rêve dans ses yeux à chaque fois que nos regards se croisaient. Rêves d'un sexe dont elle devait imaginer les proportions et la manière de vite s'en servir.
Alors qu'elle allait fêter son anniversaire, elle m'invita. Belle soirée avec ses enfants et quelques amis. Vint le moment de clore la soirée. Je faisais tout pour être le dernier à quitter sa maison et en lui faisant la bise, je lui demandais discrètement si elle voulait que je revienne après le départ de tout le monde. Elle parut surprise mais sa réponse positive ne laissait guère de doute que ce serait cette nuit là que nous allions baiser ensemble pour la première fois. Je quittais les lieux en même temps que tout le monde, prenant mon temps avant de revenir vers elle. Elle m'accueillit à son entrée et dès qu'elle eut refermer la porte,je lui prenais sa bouche tout en plaquant ma main sur son mont de vénus à travers son pantalon. Je voulais qu'elle sache qu'il n'y avait pas matière à tergiverser, que mon but était de la bien baiser. Nous nous retrouvâmes dans un canapé du salon et j'entrepris de la mettre à l'aise. Petite séance de pelotage de ses beaux nichons aux larges aréoles et baisers profonds la rendaient haletante de désir et je sentais son entrejambe qui se trempait d'envies trop longtemps ignorées, trop longtemps insatisfaites. Elle m'entraîna dans sa chambre.
Je fus vite nu alors qu'elle avait éteint pour se déshabiller dans le noir, complexée sans doute par un embonpoint de femme ronde qui ne m'avait pas échappé et qui n'enlevait rien à mon appréciation d'elle. Je savais, en me glissant dans ses draps, qu'il y avait longtemps qu'elle n'avait pas eu un homme dans son lit et qu'il me fallait peut être la rassurer avant de la prendre. Allongée sur le dos, elle était hésitante à ne savoir que faire et alors que mes doigts s'insinuaient dans sa fente vaginale toute mouillée, je lui dis de prendre ma queue en main. Elle n'attendait que cette invitation apparemment et c'est avec une satisfaction non feinte qu'elle m'empoigna la queue avec des gémissements et une forte excitation qui ne laissait douter de son manque. L'instant était sublime, mais la suite sera au prochain épisode si vous le souhaitez.
Je me connecte ou je m'inscris