Les guerriers vikings ont installés leur campement près de la rivière.
Le roi Gontran, cinquante deux ans, et la reine Astrid, sa ravissante épouse âgée de vingt quatre ans, se repose sous leur tente.
Cela fait une semaine qu’ils sont mariés. C’est en quelque sorte, leur voyage de noces.
Soudain, la garde annonce l’approche d’un chariot, escorté d’une dizaine de cavaliers. Le roi est aussitôt averti.
Un jeune homme, d’environ vingt ans, descend du chariot.
-Octavio, s’écrie Gontran, mon neveux, quel plaisir de te revoir. Rentrons que je te présente ma jeune épouse…Astrid, je te présente Octavio, le fils de mon frère Geoffrey.
-Bonjour, répond Astrid, asseyez-vous, avez-vous mangé ? Voulez-vous partager nôtre repas.
-Merci madame, dit Octavio, je ne veux pas vous déranger.
-Tu ne nous déranges pas, poursuit Gontran. Tu peux coucher ici, tu te reposeras avant de repartir. A moins que tu restes quelques jours avec nous.
-Je ne veux pas abuser de vôtre hospitalité, dit Octavio.
-Mais pas du tout, poursuit Astrid, il y a de la place.
Après avoir parlé une bonne partie de la soirée, Octavio va se coucher. Sa couche n’est séparée de celle de son oncle, que par une toile de jute.
Voila que Gontran a des idées coquines. Il glisse sa main sous l’épaisse fourrure, et commence à caresser son épouse. Celle-ci le repousse.
-Ca va pas, chuchote-t-elle, vôtre neveux dort à côté, enfin.
-Il doit dormir, répond Gontran, allez, laissez vous faire. Touchez ma queue comme elle est raide, et dure
-Si vous y tenez, je vous branle…et vous pourrez gratter ma petite chatte.
-D’accord…et si on demandait à Octavio de venir nous rejoindre.
-Ca ne va pas, enfin, nous sommes tout nus.
-Mais lui aussi doit l’être, répond Gontran…je vais le chercher.
Devant l’insistance, Astrid finit par céder à l’idée perverse de son époux. Gontran rend visite à son neveu. Octavio, assis sur son lit, entièrement nu, à juste le temps de tirer une fourrure sur lui.
-Tu ne dors pas, demande Gontran, que dirais-tu de nous joindre à nous.
-Quoi…que dites vous mon oncle…mais…je suis tout nu.
-Viens, nous allons nous amuser un peu. Astrid ne te plait pas.
-Oh que si mon oncle, dit Octavio, elle es exceptionnellement belle.
-Et alors, l’encourage Gontran, allez, ne la faisons pas attendre…
Finalement, Octavio accepte la proposition de son oncle, même s’il la trouve indécente. Ils passent de l’autre côté de la toile de jute. La jeune femme les attend, recouverte d’une épaisse fourrure. Octavio et Gontran s’installent de chaque côté d’Astrid. Ils sont nus tous les trois.
Astrid se tourne vers son mari, offrant sa croupe à son neveu. Octavio se retient, puis cède à la tentation. Il se colle à elle.
Au contact de la peau chaude D’Astrid, la queue d’Octavio se déploie.
-Oh mon dieu, glisse-t-elle à l’oreille de Gontran, je sens sa queue contre mes fesses.
-Allez y ma chère…saisissez la…quoi, que vous arrive-t-il…
-Ouah, vous ne m’aviez pas dit qu’il était mieux monté que vous.
-A ce point, répond Gontran, comment le saurais-je…
-Oh non…
-Qui a-t-il ?
-Il la glisse sa queue entre mes cuisses, souffle Astrid.
-Hum…vicieux le neveu. Passez une jambe sur mon corps, pour mieux vous écarter. Voila, alors…
-Sa queue est au porte de ma chatte…oh…il me pénètre.
Astrid prend les lèvres de son mari, quand l’énorme bite d’Octavio la pénètre. Elle glisse une main sous la fourrure, lui saisit la queue. Là, elle peut mesurer la différence de calibre.
Soudain, elle atteint l’orgasme devant son mari médusé.
-Ben dis dont, chère épouse, vous aviez envie…quoi, qui a-t-il encore.
-Si vous saviez…je sens son gland contre mon petit trou.
-Non, fait Gontran, il ne va oser vous sodomiser…pas la femme du roi.
-Oh mon dieu, il me pénètre…s’il vous plait, soutenez moi mon époux…
En effet, l’énorme bite d’Octavio s’enfonce dans les entrailles d’Astrid, qui pousse un cri de douleur.
-Qui a-t-il mon amour.
-Ca y est, souffle Astrid, il m’encule le salaud…tous ça est vôtre faute.
-Avez-vous mal, ma reine. Voulez-vous que je le renvoie.
-Oh non, mon roi, c’est bon d’avoir une grosse bite dans le cul…laissez le, je vous en prie…oh oui…Octavio, Octavio, vas-y, encules moi…
Gontran commence à réaliser qu’il a certainement fait une erreur, en invitant son neveu à partager sa couche avec sa ravissante épouse. Il réalise aussi, qu’Astrid s’offre cœur et âme à Octavio, sans le calculer lui. En roi cocu, il décide de passer de l’autre côté de la toile de jute.
Et ce qu’il entend n’est pas pour le rassurer.
-Ouais, souffle Octavio, elle est bonne ma queue, hein ?
-Oh oui elle est bonne, je n’en ai jamais vu de pareille.
-A bon, et mon roi, n’est-il pas bien monté…
-Bien moins que vous, mon neveu, sa queue est plus petite…
-Tiens, tiens, c’est pour ça que vous vous acharnez sur la mienne. Mais
ne vous interrompez pas, sucez moi la queue…hum, comme ça…gentille ma reine…elle va tout avaler maintenant…
Dans la foulée, Octavio se vide copieusement les couilles dans la bouche de sa tante…et reine. Comme demandé, Astrid avale tout.
-Oh mon dieu, si mon époux savait, dit-elle.
-Quoi ma reine.
-Que je vous ai taillé une pipe…lui à qui je l’ai toujours refusé…j’ai commis un pêcher…j’espère qu’Odin, nôtre Dieu, me pardonneras.
-Calmez-vous ma reine, venez dans mes bras…vous serez pardonnée.
Plus que l’acte, ce sont les mots qui font mal à Gontran, d’autant que sa charmante épouse est sans pitié, fait des comparaisons humiliantes à son encontre. Surtout concernant ses mensurations.
-Alors comme ça, le roi a une petite queue. Dommage, vôtre sublime corps mérite mieux. Quel plaisir de caresser vos superbes seins, d’en sucer les bouts. Et là, vous sentez comme j’ai décalotté vôtre clitoris… c’est bon ça.
-Oh oui…j’aime…allez-y mon neveu, doigtez mon petit bouton…hum… vous savez ce qu’aime les femmes, mais ou avez-vous appris tous ça…
-L’imagination ma reine, l’imagination…sentez comme je branle vôtre petite chatte…elle est toute mouillée…
-Arrêtez...je vais jouir…oui…oui…je jouis…ah…ah…
-Changez de position, je vais vous prendre en levrette…vous aimez ?
-Bien sur que j’aime, gémit Astrid, s’il vous plait, promettez moi de m’enculer aussi…c’est tellement bon d’avoir une grosse bite dans le cul…
-Hum…vous aimez la queue ma reine, installez-vous, vous ne serez pas déçu.
-Oh oui c’est bon mon neveu…elle est bonne vôtre queue. Elle a tout pour satisfaire la petite chatte d’une reine insatisfaite…
Astrid sait que son époux l’entend. Ces cris de plaisir quand elle jouit, doivent lui crever le cœur. Encore plus quand elle cri le nom d’Octavio. Mais après tout, c’est lui qui la voulu.
-Si on demandait au roi de venir assister, dit-il. Demandez-lui.
-Oh mon roi, venez voir comme vôtre neveu s’amuse avec vôtre femme.
Tel un automate, Gontran passe la toile de jute, tombe à genoux, les bras ballant. Il assiste impuissant, à la saillie de sa chère et tendre épouse.
Il voit l’énorme queue de son neveu, aller et venir dans sa bouche, le surplus de sperme couler sur ses lèvres. Il voit aussi la bite coulisser dans la chatte, ou dans le petit trou. Il l’entend aussi crier quand elle jouit.
Au petit matin, arrive le moment des adieux. Octavio prend Astrid dans
ses bras, l’embrasse a la limite des lèvres. Il donne l’accolade au roi.
-Mon oncle, dit-il, vous avez une femme d’une rare beauté. Elle est exceptionnelle au lit. En plus, elle suce divinement. Quel veinard vous êtes.
-Vous-même êtes un amant exceptionnel, poursuit Astrid. Vôtre énorme queue, est digne des plus grands dieux nordiques. Merci de m’avoir donné tant de plaisir, mon neveu.
Malgré l’humiliation, Gontran parvient à se retenir.
Le lendemain, il part en campagne pour une guerre qui doit durée deux mois. Il ne sait pas encore qu’à son retour, il va apprendre une terrible nouvelle. Astrid est enceinte.
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