J’ai une cinquantaine d’années. Ma femme et moi sommes séparés depuis bien longtemps et les enfants ont grandi. Vivant dorénavant seul, j’ai une sexualité bien remplie, et j’entends qu’il en soit ainsi. Cet été, mon fils de vingt-cinq ans a voulu venir chez moi avec sa copine : la maison est grande, il y a la piscine, c’est promis, on ne te dérangera pas… Ouais, mettons. Je ne le vois pas si souvent, je me suis dit que ce serait l’occasion. Il débarque donc un vendredi, début juillet, avec Alyssa, sa nouvelle copine. Je sais que mon fils a du succès, mais là … la vraie bombe anatomique. J’ai déjà vu des filles bien foutues, mais celle-là est entièrement naturelle, et à en juger par ce que je vois – à peu près tout, puisqu’elle ne porte quand je la découvre qu’une jupe si courte qu’on se demande si elle sert à cacher le string ou au contraire à le révéler, et un caraco sans rien dessous, avec des seins qui tiennent on ne sait comment, tant ils tendent le tissu – elle aime son corps et elle aime le montrer… Ils s’installent rapidement, et tandis que je suis à la cuisine, vont direct dans la piscine. Quand j’apporte l’apéro, je m’interroge sur le maillot minimaliste qu’elle porte. Là encore, ça souligne tout ce que ça prétend cacher. Heureusement que je ne suis pas en maillot, parce qu’il serait difficile de cacher qu’elle est franchement, absolument, définitivement, irrémédiablement, bandante. Le slip de mon fils est révélateur… et il tente de masquer son état quand j’arrive, mais c’est bien inutile.
La soirée est agréable, et Alyssa est à la fois drôle et charmante, mutine et un peu allumeuse, mais plutôt mieux que les greluches que mon fils a l’habitude de sauter. Vers minuit, les jeunes rejoignent leur chambre et moi la mienne. Je commence à m’assoupir quand des bruits réguliers me réveillent : ils sont en train de baiser, et les gémissements de la demoiselle montent en intensité… Evidemment, ça me fait bander, surtout que je repense à ses formes affolantes. Mais bon, ça fait longtemps que je ne me branle plus à chaque fois que j’entends des gens baiser, dans un hôtel ou même chez moi. Je me rendors donc, et suis de nouveau réveillé : cette fois-ci, le cri de jouissance qu’elle a poussé était tel qu’il a dû réveiller tout le quartier. J’essaie de m’endormir à nouveau, mais rien à faire ; je me tourne, je me retourne, mais l’assoupissement ne vient plus… J’ai chaud, j’ai soif, et je suis agacé de na pas retrouver le sommeil. Vers deux heures, je me lève pour aller boire un verre d’eau à la cuisine. Comme je suis chez moi, quand je me lève, c’est en général nu, et je ne pense pas que je pourrais tomber sur quelqu’un… C’est donc dans la tenue d’Adam que j’ouvre le frigo pour attraper une bouteille d’eau. Et quand je me retourne, Alyssa est devant moi, vêtue d’une courte nuisette, et son regard braqué sur mon membre. Je suis un peu surpris, mais à quoi servirait de cacher ce que, d’une part, elle a déjà vu, et ce dont, d’autre part, je n’ai aucunement honte. Néanmoins, le caractère très franc de son regard sur mon anatomie, alors qu’aucun de nous ne dit rien, a un effet assez naturel : mon sexe grossit doucement. Elle recule en silence, me faisant face et sans détourner son regard, et s’appuie sur la grande table qui est derrière elle. Je la contemple en silence, dans l’obscurité de la nuit. Ses longues jambes, ses hanches et sa taille que la nuisette ornemente, ses seins, bon dieu, ses seins, ses bras appuyés sur la table, ses cheveux lâchés sur ses épaules et dans son dos, son regard comme fasciné, sa bouche légèrement ouverte. Pas un son. Nous ne disons rien, nous ne parlons pas. Je m’avance vers elle ; elle me laisse venir, s’appuyant à la table et s’asseyant presque dessus, en écartant les jambes : la nuisette est remontée, elle s’ouvre devant moi, elle m’ouvre ses jambes, puis remonte carrément le léger tissu, dévoilant totalement sa chatte rasée, et je devine sa fente. Je m’approche encore, je viens caler mon sexe maintenant dressé entre ses jambes, contre elle, et sa respiration est un instant suspendue. Elle attendait ce contact, la peau tendue et chaude de mon sexe contre sa vulve ouverte et humide, la hampe de mon membre qui vient écraser son clitoris ; elle attendait ce contact et ses mains prennent mes fesses pour me presser contre elle. Mais je relève ses bras, et j’enlève cette nuisette qui masquait encore un peu ses seins, et j’en prends un à pleine main, je le malaxe, je le froisse, je le caresse en provoquant un gémissement imperceptible, qu’elle a retenu. Elle se penche en arrière, accoudée maintenant à la table, la poitrine fièrement dressée, splendide, que la lumière de la lune caresse, deux globes de blancheur que des tétons sombres couronnent, des tétons durcis, des tétons de désir, et elle enserre ma taille de ses jambes, son sexe et le mien collés, serrés, emprisonnés l’un contre l’autre. Je me dégage légèrement pour m’introduire en elle, silencieusement, d’un seul coup, profond, puissant, ma bite allant cogner en elle, et je la maintiens par les hanches, et je la laboure, et je la prends sans un mot, répondant à son appel, à son désir, et nous nous possédons comme deux bêtes en rut, dans le silence de la nuit. Cet accouplement est intense, rapide, elle joue de ses cuisses pour m’empêcher de sortir, je joue de mes mains sur ses hanches pour la pénétrer davantage, pour la limer sur toutes les parois de son vagin. Et elle se crispe brutalement, tremblant soudain sous l’orgasme, sans un bruit. C’est sûr, son cri de tout à l’heure était feint, car cette fille jouit sans bruit, et elle n’avait pas son compte. Elle tremble longuement, sans desserrer l’étreinte de ses cuisses, mais ses seins parlent pour elle, elle jouit des pieds jusqu’à la tête, elle jouit de tout son corps, sans me laisser bouger, elle veut aller au bout de son orgasme, et elle utilise mon sexe à cet effet. Quand enfin sa jouissance redescend, elle me laisse sortir, se retourne sans un mot et m’offre son cul ; elle veut me faire jouir à son tour, et la prendre ainsi, en levrette, ses seins ballotant sous elle, son cul délicieusement ouvert, c’est très excitant. Là encore, l’assaut est rapide. Je veux jouir d’elle, et elle sait comment m’y mener. Son cul serré sur ma bite, ses mouvements de déhanchement, tout cela ne dure guère avant que je gicle puissamment en elle. Pas un mot, quelques soupirs retenus…
Le lendemain matin, mon fils me demande s’ils ne m’ont pas trop dérangé… Non, j’ai dormi comme un bébé, pourquoi, vous avez fait du bruit ? elle me regarde en souriant sans rien ajouter.
Ils ne sont pas restés ensemble très longtemps, mais je sais que sexuellement, l’été a été riche pour elle.
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