Cet été, je n’ai pas eu trop envie de passer les vacances avec mes parents. Ils sont sympas, j’adore la vieille baraque retapée du Cantal, j’aime bien les apéros à rallonge et le côté foutraque, la piscine est cool, mais bon, faut se dire les choses, c’est des parents… Leurs copains ont le même âge qu’eux, bref, ils sont vieux. Ils croient que parce qu’ils écoutent du rock et fument un joint tous les six mois, ils sont restés jeunes… mais ce n’est pas le cas… Donc, au bout d’une semaine de juillet franchement pluvieuse et chiante, j’ai dit que je remontais à Paris, qu’il fallait que je bosse pour la rentrée – ça les a un peu surpris – et qu’on se tenait au courant… Ouf… De l’air.
Sauf que rien ne s’est passé comme prévu. J’étais tranquille depuis seulement deux jours que ma mère m’appelle, et me dit que ma tante – sa sœur Sandra, que je ne connais pas : quand je suis né, elle vivait depuis quelques mois aux States, et n’est jamais rentrée – atterrissait à Roissy le lendemain, qu’il fallait que j’aille la chercher, et qu’elle allait s’installer quelques semaines dans l’appart. La galère. Moi qui prévoyais quelques fêtes peinard dans l’appart, voilà que je devais m’occuper d’une étrangère – pour moi – d’un âge indéterminé – ma mère n’en parlait jamais. Donc pied de grue à l’aéroport, avion avec deux heures de retard, et mon carton à la con puisqu’on ne se connaît pas du tout. Autant dire que j’étais content et d’humeur charmante. Les passagers arrivent enfin, des vieux, des jeunes, des blondes, des bruns, de tout… mais la tante, j’attends. Et soudain, gros choc : ma mère, exactement ma mère, mais jeune – quinze ans de moins au moins –, plus longue, plus sportive… Putain, ma mère jeune qui vient directement sur moi et me claque la bise ! Bon, on y va ou tu comptes prendre racine ? Oui, oui, on y va. J’en reviens pas. Elle me raconte en chemin qu’en effet, elle est beaucoup plus jeune que ma mère, qu’elle est partie à dix-huit ans, dès qu’elle a pu, tant ses parents étaient pénibles. Ce n’est que récemment qu’elle a repris contact avec sa sœur – ma mère – et comme elle quitte les States, elle a pensé se réinstaller ici quelques temps. C’est très troublant : j’ai l’impression à la fois de parler à une totale étrangère ET à ma mère, ou de parler à ma mère comme si je ne la connaissais pas.
Nous voilà arrivés. Sandra s’installe dans la chambre d’amis, contiguë à la mienne. Elle est fatiguée par le voyage, jette ses affaires un peu n’importe où et file prendre une douche. Bon, faisons le point : mes vacances tranquille, c’est mort ; la tatie sera sans doute moins chiante que prévue, mais en même temps, elle est très sans gêne, faisant comme si elle était chez elle… Elle sort de la douche et se balade dans l’appart en sous-vêtements comme si je n’existais pas ! D’un côté, j’apprécie : elle est super bien balancée, et le soutif et le string, c’est dentelle et compagnie… D’un autre côté, voir comme ma mère à moitié à poil, c’est… bizarre. Soyons précis, c’est aussi extrêmement bandant. Je fais semblant de rien, mais je la dévore des yeux. J’ai d’abord cru qu’elle le faisait exprès, et espéré que du coup, elle allait passer et repasser, se pencher, la totale, quoi… mais en fait non, c’est juste qu’elle n’est pas pudique. Donc raté. Elle revient en jeans et t-shirt. Bandante quand même, mais pas de quoi s’en foutre plein les yeux. La journée se passe plutôt bien : elle n’est pas tout le temps dans mes baskets, elle vit sa vie, moi la mienne. Le soir, elle me propose de m’inviter au resto : c’était sympa de venir me chercher, et puis j’imagine que tu n’avais pas prévu de passer des vacances avec la tata américaine, je te dois bien ça… Ok, on sort. Sauf que, pas prévu, mais quand elle sort, elle sort : elle part dans sa chambre et revient avec une robe moulante, fendue dans le dos – et là , pas de soutif, rien – mais devant, putain, ça tient tout seul, et le tissu de la robe est tendu… Moi, j’ai rien mis de spécial, je me sens un peu ridicule. Elle appelle un taxi et m’emmène dans un truc chiadé, avec tout le tralala… On dirait qu’elle a l’habitude de ce genre de resto, moi je suis un peu gêné, et même franchement pas à l’aise, carrément gauche. Je crois qu’elle s’en amuse, elle s’occupe de commander le vin, pose plein de questions au sommelier – j’y comprends rien –, et elle concentre les regards sur elle : son aisance, sa robe, ses jambes qu’elle croise et décroise, les cheveux, les lèvres soulignées d’un rouge vif, tout… Je dois avoir l’air du neveu débile ou du petit frère qu’on sort… Tout est sublime, elle surtout, sauf moi, sorte de bubon déplacé… Sa conversation est drôle, elle est vive, et moi je n’en place pas une, je n’ai rien à dire, je suis juste à la regarder bêtement et à lui dire oui oui… Heureusement, le calvaire prend fin et on rentre. J’ai l’impression d’être moite de partout, rouge et stupide. A peine arrivés, elle défait l’agrafe qui tient le haut de sa robe, la laissant glisser sur elle, se retrouvant… totalement nue – elle n’avait rien en-dessous ! – et s’exclamant, quelle chaleur, tu ne trouves pas, c’est abominable ! Je la vois s’éloigner de dos vers la salle de bains, un cul de rêve, un dos… Et merde, même pas eu le temps de mater ses seins. Quant à la chaleur, alors ça, oui, elle est montée d’un cran. Depuis la salle de bains, elle me crie, tu devrais venir me rejoindre, une douche fraîche, c’est un délice ! La rejoindre ? C’est ça qu’elle a dit ? La rejoindre ? Je me désape presque en courant sinon que… merde. Je bande. Je ne vais pas entrer dans la salle de bains comme ça. Oh, et puis, si. Elle est sous la douche, n’a pas fermé la porte. J’entre derrière elle, m’approche, elle se retourne vers moi et m’arrose avec le jet : c’est vrai que ça fait du bien, cette eau fraîche. Et comme elle s’est retournée, je peux enfin contempler sa poitrine, ses seins sublimes. Mes yeux sont plus haut, me dit-elle en riant… Je lève les yeux vers son visage et… c’est dingue : j’avais oublié ma mère, et la revoilà , super jeune, mais ma mère quand même. Elle voit bien dans mon regard ce mélange de gêne et de désir. Qu’est-ce qu’il y a, tu n’as jamais vu une femme nue, c’est ça qui te gêne, ou bien tu as honte d’avoir une érection ? Oui, et non. Je lui avoue qu’en fait, elle ressemble tellement à ma mère que ça fait très bizarre. Et tu n’as jamais vu ta mère nue ? Ben, euh, non. Alors en effet, ça doit te faire drôle. Bon, tu préfères que je sois plus pudique ? Euh, non, pas vraiment non plus… Faut savoir, mon gars, parce que si tu dois tout le temps avoir une trique comme ça, jolie trique d’ailleurs, ça va pas le faire. Et la voilà qui me savonne, le torse, les épaules, elle me retourne, le dos, les fesses. Je ne sais pas quoi faire, je suis tétanisé, ses seins collés à mon dos, et voilà qu’elle me savonne la bite… Je vais gicler si elle continue… Il faut que je prenne les choses en main. Je me retourne, et à mon tour je la savonne, les seins, le ventre, puis je la retourne à mon tour, le dos, les fesses – putain, ce cul qu’elle a ! Je crois que ça l’amuse. Elle se laisse faire, elle écarte même légèrement les jambes. Qu’est-ce que je fais ? Bon, je fonce, je glisse une main savonneuse dans son entrejambe, je lui caresse carrément la chatte. Elle se laisse faire, elle recule même un peu en se penchant, m’ouvrant son sexe. Putain, je fais quoi, je la lui mets ? Pas le temps de réfléchir, elle me saisit la bite avec la main et se l’introduit direct, là , sans rien dire, ma bite dans sa chatte, et pas la peine de bouger, elle fait tout. C’est dingue, je suis en train de la tringler, enfin, elle est en train de se tringler sur moi, je suis en train de baiser une nana sublimissime… Et elle sait y faire, elle alterne les mouvements, les pressions, tout. Puis elle se retourne… merde, maman… A chaque fois que je la vois, je vois ma mère, c’est dingue. Dis donc, mon gars, ça te fait bander sévère d’avoir l’impression de baiser ta mère ! C’est vrai que je n’ai jamais été aussi dur, aussi tendu. Moi, ça me va, les bites, je les aime très dures, et là , t’es exactement comme il faut. Elle lève une jambe très haut et me réintroduit en elle, mais de face, je la tiens par les hanches, mes yeux sur ce corps de femme ahurissant, ses seins qui bougent au rythme de notre étreinte, l’eau qui coule sur nous, qui nous rafraîchit quand nous brûlons. Putain, je baise ma tante, je baise la sœur de ma mère, je baise une trentenaire épanouie, libérée, experte, sublime, je baise la milf parfaite, et jamais je n’ai été aussi excité ni aussi dur, aussi viril, aussi… merde, je viens de tout lâcher, j’ai pas pu me retenir. Elle rigole, ça la fait marrer, elle me regarde tout penaud, retire ma bite déjà ramollie, finit de se laver, sort de la douche. Tu sais quoi ? Moi, j’ai pas eu mon compte, alors, mon petit rigolo, il va falloir que tu me fasses jouir : avec ce que tu veux, ta bouche, tes mains, bon, ta bite, HS, j’ai compris, mais je ne dors pas avant d’avoir joui ! Et elle m’emmène dans sa chambre, s’allonge lascivement sur le lit, écarte les jambes et me regarde. Eh, t’attends une autorisation ou il faut que je fasse tout toute seule ? Non, ok, j’arrive… Je m’allonge entre ses jambes ; c’est qu’en fait, j’ai pas une expérience de ouf côté cunni. Même, ça me dégoûte un peu. Mais quand je plonge là , je découvre des délices inconnus. Elle sent bon, c’est iodé, mais c’est sucré en même temps, je crois que je n’ai jamais léché un sexe de femme comme ça. Elle me dirige, m’indique ce qu’il faut faire, m’appuie la tête, je la sens vibrer, frémir, c’est très bandant de faire jouir une femme. Et puis elle se tait soudain, écrasant ma tête sur sa vulve, crispant ses jambes à me faire éclater le crâne, puis relâchant la pression doucement en se mettant à trembler de la tête aux pieds, et se détend enfin totalement, comme si elle était devenue molle. Je crois qu’elle a joui, je crois que je lui ai procuré un orgasme. Ma tante me regarde en souriant, quelque chose dans son visage n’appartient pas à ma mère, ou je n’ai jamais vu cela sur le visage de ma mère. Elle me fait signe de m’allonger à ses côtés, je m’exécute, mon sexe tendu collé à sa cuisse. Et elle s’endort. D’un coup. J’aurais bien continué, mais non, dodo…
Je me réveille dans son lit, elle n’est pas là . Elle a déjà pris son café, et s’apprête à partir. Je vais faire des courses, si tu veux faire du lèche-vitrine, tu te grouilles, si ça ne te dis rien, j’y vais seule. Je ne sais pas trop, quelles courses ? Des trucs de nana… Tu vas adorer. Bon, j’avale rapidement un café et on y va. Elle veut faire des essayages, notamment de lingerie… Un truc à me rendre dingue. Et pour rendre dingue un mec, elle sait y faire. Elle me montre, elle se cache, un bout de jambe, un galbe de sein, ça va pas, tu vas rentrer avec moi dans la cabine, mon petit gars… Elle minaude, elle m’allume à mort, et elle finit par m’emmener au rayon homme, pour m’habiller un peu. Et là , ça la gêne pas du tout d’entrer avec moi dans la cabine, et pendant que je déboutonne une chemise, d’extirper mon sexe de mon caleçon et de commencer à me sucer. Putain, je crois qu’avant je ne savais pas ce que c’était qu’une pipe ! C’est pas une bouche qu’elle a, c’est une ventouse, c’est pas des lèvres, c’est des sangsues… Et elle sait où s’arrêter, me lâche, ressort super tranquille… Des journées comme ça, c’est l’enfer. Elle me fait bander sans cesse mais s’arrête toujours, j’en ai mal aux couilles. Elle me rend complètement dingue, mais en même temps, je suis super fier d’être avec elle. Bien sûr, je suis son neveu, et personne ne sait que j’ai possédé cette nana, mais moi je le sais, et j’en suis très fier.
On rentre finalement, assez crevés, moi très excité, elle pas trop je crois. Tiens, sois un chou, va nous préparer un truc frais pour le repas pendant que je me repose… Elle abuse, mais comment résister ? Je vais à la cuisine, je m’affaire. Puis elle revient, très sapée : désolée, j’ai eu un appel, je dois sortir… Tu m’en veux pas ? Putain, elle me lâche, je fais quoi, moi… Je n’arrive pas à me mettre en colère, en fait, je suis surtout déçu… A peine le temps de répondre qu’elle est déjà partie. Soirée de merde. Je vais me branler comme un con. Je m’endors devant la télé… C’est elle qui me réveille, il doit être tard. Tu t’es endormi en m’attendant ? Tu devrais aller te coucher. On y va ensemble ? Non, mon chou, pas question de prendre des habitudes : chacun sa chambre, chacun son lit, et puis je suis fatiguée. Je tente un regard noir, elle éclate de rire : non, franchement, t’es pas crédible, là ! Et puis il va falloir que tu apprennes : une nana te dit non, c’est non, point. Et elle tourne les talons et disparaît. Je l’entends se doucher, suis tenté de la rejoindre mais n’ose pas, je finis par m’endormir. Je me réveille en plein rêve érotique : elle me chevauche comme une furie, je lâche tout dans les draps… Merde. Je vais à la salle de bains pour me nettoyer ; sa lumière est allumée, elle ne dort pas. Elle parle au téléphone en anglais, je n’y comprends rien, elle parle trop vite et avec plein de mots d’argot. Elle n’a pas l’air contente… Je retourne me coucher.
Petit matin, odeur du café. Je descends doucement : elle porte un caraco très court, et rien dessous. Elle ne m’a pas entendu. Elle se promène en buvant son café… La voir bouger comme ça, presque nue, c’est affolant. Je fais un peu de bruit, elle se retourne. Ah, c’est toi… Elle n’a pas l’air joyeux et ouvert que je lui connais, elle semble contrariée. D’ailleurs, elle ne dit rien, me montre le café et me laisse me servir. Je m’assois sur une chaise haute – la cuisine est aménagée comme un bar – et je la regarde aller et venir, ruminer, et je regarde ses jambes, ses fesses qu’on devine sous le tissu léger… Elle me lance un regard sombre : tu comptes te rincer l’œil longtemps ? Essaie au moins d’être discret… Ben, c’est difficile, t’es un peu presque à poil et, pardon, c’est beau à voir. Elle esquisse un début de sourire vite effacé : merci, c’est très con mais gentil quand même. Elle pose sa tasse et s’en va. Bon, ça promet… J’ai cru que j’allais avoir finalement des vacances de rêve, et ça vire au vinaigre. Elle revient couverte, reprend son café : ça va, c’est mieux comme ça ? Non, c’est pas mieux du tout, mais je m’en contenterai… Je serai absente toute la journée et je rentrerai tard : il faut que je trouve où crécher, je vais pas squatter chez tes parents éternellement. Eternellement, non, mais tant qu’ils ne sont pas là , moi, ça me convient. Oui, mais pas moi. Et elle sort en claquant la porte. Je ne sais pas ce que je suis en train de payer, mais c’est gonflant. Bon, je vais faire comme si elle n’était pas là , puisqu’elle m’ignore : journée potes et ciné. En rentrant le soir, assez tard, je la trouve vautrée devant la télé à regarder une connerie, avec son micro caraco. Putain, elle est chiante, mais sacrément bandante quand même. On échange trois mots, elle est toujours d’humeur massacrante, je vais me pieuter. Impossible quand même de ne pas me branler : je l’imagine sur moi, je lui déchire son caraco, je lui baise la bouche, les seins, je m’astique avec délice… quand je l’entends tousser : elle est entrée dans ma chambre sans que je la voie, ce qui est assez normal puisque j’ai fermé les yeux ! Et elle est là , debout dans l’embrasure de la porte, à me regarder la main serrée sur ma bite dressée. C’est bien ? Oui, ça a l’air pas mal… En tout cas, tu bandes sévère… Je suis rouge comme une pivoine, affreusement gêné… et excité. Bof, non, c’est pas terrible, je t’imaginais, mais te voir là devant moi, c’est vachement mieux. Et la regardant droit dans les yeux – enfin, pas seulement les yeux, plus bas aussi – je recommence à me branler, à faire glisser ma main le long de mon sexe tendu. Elle sourit, me regarde faire mais ne s’approche pas, elle ouvre les lèvres, les referme, elle joue à m’allumer davantage encore ; elle pose une main entre ses cuisses et les serre, elle se caresse les seins à travers le caraco avec l’autre main, ses yeux fixés sur ma tige. Elle est vraiment très forte, elle m’excite à mort sans même me toucher. Et hop, demi-tour, elle se penche un peu, me montre son cul sublime, et sort en fermant la porte : ne fais pas trop de bruit s’il te plaît ! La salope… elle m’abandonne comme ça, c’est pas vrai ! Je me lève d’un coup et cours la rejoindre, mais elle a fermé sa porte, fermé à clé… Non mon coco, ce soir, t’as le droit de te finir tout seul, mais c’est sans moi. Mais pourquoi elle me fait ça, sérieux, pourquoi tu me fais ça, qu’est-ce que je t’ai fait ? Rien, c’est juste que c’est pas libre service ; bonne nuit. Bonne nuit, tu parles… Elle me gonfle sérieusement, je ne suis pas non plus un jouet à son service.
Le lendemain, c’est moi qui fais la gueule. Je ne lui adresse pas la parole, la regarde à peine – et je peux vous le dire, ne pas la regarder, ce n’est pas facile – et me casse assez vite. J’appelle les parents, je commence à être impatient qu’ils rentrent. Pourquoi, ça ne se passe pas bien avec Sandra ? oui, mon chéri, elle n’est pas facile, mais fais un effort s’il te plaît, on rentre la semaine prochaine. Fais un effort : ma pauvre petite maman, si tu savais… Je rentre très tard ; elle n’est pas là ; tant mieux. Petit matin, du bruit me réveille ; je vais voir, et c’est Sandra qui rentre. Elle me fait un grand sourire et va se coucher. C’est très con, ce jeu à s’éviter. Je vais dans sa chambre, elle s’est complètement désapée, s’est couchée et n’est recouverte que d’un bout de drap. Oui, qu’est-ce que tu veux ? Tu ne crois pas que c’est stupide de s’éviter comme ça ? Le drap collé à elle, qui épouse ses courbes, c’est très érotique. Et avec la pâle clarté du matin, j’ai l’impression que c’est ma mère qui est allongée là , d’autant que la fatigue vieillit un peu les traits de Sandra. Et je m’aperçois que de saisir cette ressemblance au plus vif m’excite terriblement : que j’adorerais la baiser là , que j’adorerais baiser là ma mère. Elle ne m’a pas répondu, elle soupire et murmure qu’elle est fatiguée, en s’étirant, de sorte que le drap découvre d’un côté une jambe presque entièrement, tout en ne couvrant de l’autre côté que le bas des seins ; une aréole est visible, de cette couleur rose sur sa peau blanche. Je ne dis rien, retire le caleçon que je porte, découvrant mon sexe pas encore bandé, et viens m’allonger à ses côtés. Elle ne dit rien non plus, me fait de la place mais me tourne le dos, collant ainsi ses fesses à ma bite. Prends-moi dans tes bras, murmure-t-elle, et je l’enlace, collé à elle, prenant ses seins à pleines mains. Je fais glisser ma bite contre ses fesses, c’est chaud, j’adore… mais elle dort déjà . Je reste là avec mon sexe qui redevient lentement flasque, et au bout d’un moment, je me dégage doucement, et vais me doucher. Je la laisse dormir, et me balade à poil dans l’appart. Vers dix heures, je prépare le petit déjeuner et vais la réveiller. Elle dort profondément, ayant complètement rejeté le drap. Elle est nue, sur le ventre, une jambe pliée de sorte que sa vulve est parfaitement visible. Je la caresse délicatement, avec un doigt mouillé de salive ; pas de réaction. J’insiste encore et elle bouge dans son sommeil, dépliant la jambe et se tournant à moitié, mais relevant alors l’autre jambe. Je reprends ma caresse, glissant le long de ses lèvres humidifiées ; mais ce n’est pas uniquement ma salive, je crois qu’elle est excitée ; elle gémit, dort-elle encore ? Je glisse un doigt en elle, elle est carrément trempée, et alors que je m’apprête à la branler franchement, elle baragouine je ne sais quoi en anglais, se retourne sur le dos, puis soupire longuement et sombre de nouveau dans le sommeil. Je lui écarte les jambes, et reprend où j’en étais, mais en m’occupant également de son clitoris. Elle dort et est en plein rêve érotique ; je frotte son clito vigoureusement et elle jouit presque instantanément, c’est d’une brutalité inouïe. Mais elle dort, elle dort vraiment. Je vais chercher mon téléphone et prends plusieurs photos d’elle : putain, que c’est jouissif de la voir ainsi abandonnée, le sexe humide avec quelques gouttes de cyprine qui perlent. Je sors de la chambre, fais volontairement du bruit et entre de nouveau dans la chambre. Cette fois-ci, elle est réveillée. Elle me regarde sans trop savoir où elle est, à moitié encore dans son trip érotique, à moitié dans le réel… Quelle heure est-il ? Dix heures, petit déjeuner servi… Elle se lève, complètement nue, a l’air de se demander si elle va mettre quelque chose, me regarde en souriant, voit mes yeux sur elle – ça a l’air de lui plaire, ce désir qu’elle sent chez moi – et vient me coller un baiser pleine bouche. Tu sais quoi, j’ai envie de sexe, ce matin, j’ai envie d’un gros sexe dur de mec, tu sais où je peux trouver ça ? Tu parles si je sais… madame est servie. Elle m’arrache mon caleçon et mon t-shirt, me fait asseoir sur le canapé, et vient direct s’empaler sur moi, comme ça, sans préliminaires, mon sexe au fond d’elle, et elle me chevauche comme une furie, elle monte et descend, elle serre ses muscles sur moi, les relâche, ses seins tressautent à chaque montée et à chaque descente, elle fait son rodéo du matin, son rodéo sur son jeune étalon, et moi je la pénètre à fond, je la défonce de toute ma rage accumulée de ces deux jours, je la laboure comme si je n’avais pas baisé depuis vingt siècles, je la pilonne en pensant à ma mère, en voyant ma mère en elle, moi en ma mère, mon sexe dans la chatte de maman, putain ce que c’est bon, la chatte de maman quand elle avait trente ans… Et je crois qu’elle le sait, qu’elle sait très bien que ce n’est pas elle que je baise, pas ma tante des States, mais sa grande sœur, ma mère adorée. Mais elle s’en fout, elle a envie d’une grosse bite dure, elle a envie d’être remplie par un sexe gorgé de sève, elle a envie que je jouisse en elle, de sentir mon sperme inonder sa chatte juteuse, elle en a envie et elle sait que ça va arriver, elle sent ma bite frémir en elle, elle sent mon plaisir qui monte, et quand elle s’enfonce soudain le plus loin qu’elle peut, je gicle de longs jets de foutre dans son ventre, de longs jets brûlants de plaisir. Une fois repue, rassasiée de sexe, elle se lève, le sperme coulant encore entre ses cuisses, et va prendre une douche comme si elle avait simplement bu un café… Cette nana a un truc : elle a un rapport au sexe absolument cool. J’adore. C’est pas que je puisse vraiment comparer – mon expérience n’étant pas ouf – mais quand même.
Finalement, les parents rentrent. Retrouvailles des sœurs, moments convenus… Un matin, ma mère me dit qu’elle veut me parler… Oui maman ? Dis-moi, il s’est passé quelque chose avec Sandra ? Quelque chose, comment ça ? Je ne sais pas, je vous trouve étranges. Moi, ce que je trouve étrange, c’est de parler comme ça à ma mère, qui est encore en peignoir, en pensant uniquement que j’ai envie de la baiser, qu’elle a des rides que n’a pas Sandra, que son corps est sûrement moins ferme, mais peut-être aussi plus sensuel, et qu’elle est bandante comme je ne l’avais jamais su. Je bafouille vaguement, j’élude… Mais elle ne lâche pas le morceau : en fait, Sandra m’a dit des choses. Ah bon, elle t’a dit quoi ? C’est assez gênant, mais il faut que je sache… Oui, quoi ? Elle m’a dit… elle hésite, elle ne sait pas comment aborder la chose, et moi je me demande ce que Sandra a pu lui dire, elle ne lui a quand même pas dit qu’on avait baisé ensemble ? Eh bien, mon chéri, je ne la crois pas, mais tu sais, enfin, elle m’a dit qu’elle t’avait dépucelé. Quoi ??? La conne. Dépucelé ? Elle croit que j’étais puceau – bon, c’est presque vrai, mais c’est pas une raison… Mais non, maman, enfin, ça va pas, avec ma tante ? Ta tante, ta tante, c’est une très jolie femme, jeune, et tu ne la connaissais pas, donc ça aurait pu arriver, tu sais, je n’aurais pas trouvé cela si choquant, c’est juste que je voudrais savoir… Savoir quoi, qu’est-ce qu’elle veut savoir ? Je suis en train de m’énerver, je ne sais pas trop quoi dire, je crois que je suis rouge jusqu’aux oreilles, et Sandra débarque. Aux regards qu’on lui jette tous les deux, elle sait de quoi on parle… Salut les tourtereaux ! Sandra, enfin, c’est mon fils, tu exagères. C’est ton fils, mais c’est aussi un sacré beau mec, et membré, si tu savais ! J’en reste baba. Putain, elle parle de mon sexe comme ça, à maman, et le pire, c’est que maman, loin de se mettre en colère, se contente de sourire en rougissant… Et moi je les regarde, cramoisi, ma mère et sa sœur, ma mère aujourd’hui et ma mère plus jeune, ma mère un peu coincée et ma mère libérée, je les regarde et heureusement que je suis habillé, parce que je bande comme un taureau. Sandra s’approche de maman, et au lieu de l’embrasser sur les joues pour lui dire bonjour comme feraient deux sœurs normales, elle lui roule une pelle d’anthologie, un vrai baiser fougueux avec la langue, et maman se laisse faire, non seulement elle se laisse faire, mais elle se presse contre Sandra… Tu vois, mon chou, c’est pour ça que j’ai foutu le camp il y a des années… c’est parce que nos parents ne comprenaient pas qu’on s’envoie en l’air toutes les deux ! Quoi ??? Maman et Sandra ??? Qu’est-ce qu’elle raconte ? Je dois avoir l’air stupide. Maman a l’air un peu gênée, mais elle ne dément pas, elle sourit seulement. Et là , le truc. Sandra défait le peignoir de maman devant moi, et maman ne la retient pas. Elle essaie seulement de se cacher un peu, non, pas devant lui, mais en fait elle ne résiste pas. Tu parles, il en rêve de te voir à poil, et je t’assure, quand il me baise, c’est à toi qu’il pense, ma chérie… Maman est debout, nue, muette, le peignoir à ses pieds, Sandra lui caresse les seins, et moi je regarde ça, immobile, transformé en pierre. Alors Sandra se retourne, ôte son caraco pour se dénuder aussi, vient vers moi, me retire ma chemise puis mon jean. Je suis en boxer devant ces deux femmes nues, ma mère et ma tante, et mon boxer ne cache rien de mon sexe tendu à rompre, ce n’est plus une bite, on dirait un avant-bras. Et le regard de maman sur mon érection, et les mains de Sandra qui font glisser le boxer sur mes cuisses, révélant mon entière nudité qui surgit comme si elle était montée sur ressorts. Alors, tu vois, je ne t’ai pas menti… Belle bête, hein ! Maman est muette, elle est comme fascinée, la bouche entrouverte, les seins lourds, son sexe couvert d’une légère toison soigneusement entretenue… Sandra se met à genoux pour venir me gober, mais mes yeux ne quittent pas le visage de maman. Sandra me pompe la bite, mais mes yeux sont fichés dans ceux de maman, qui me regarde aussi. Elle sourit, mais je ne sais pas si elle est vraiment là . Sandra m’avale la bite et sa langue entame une danse de folie, mais je ne vois que maman, nue, devant moi, qui a glissé une main sur sa fente et commence à se caresser, maman, nue, devant moi, excitée à la vue de sa sœur qui avale le sexe de son fils, et qui a maintenant décalotté son clitoris, et le frotte énergiquement en gémissant, maman, nue, devant moi, qui a écarté les cuisses et s’est rentré deux doigts dans la chatte. Je cale la tête de Sandra sur ma tige, je lui baise littéralement la bouche, et maman s’approche de nous, et délicatement, elle arrête mes mains, elle permet à Sandra de respirer, elle retire sa tête, et s’agenouille à ses côtés, en me regardant. Ses yeux dans les miens, les miens dans les siens, et les langues des deux sœurs, la langue de maman, la langue de Sandra, qui se cherchent et se trouvent autour de mon sexe érigé en prière, de mon sexe qui appelle leurs bouches, de mon sexe dont le seul désir est de retrouver celui dont je suis sorti, celui de ma mère, retrouver son ventre chaud… Elles me lèchent longuement, complices, heureuses, puis Sandra prend maman par la main et la fait s’allonger sur le lit, elle lui écarte les cuisses et m’invite à venir la rejoindre pour goûter à son antre, pour que ce soit maman qui reçoive maintenant nos caresses conjointes. Comment résister à ça ? Je ne sais plus très bien où je suis, qui je suis, qui elles sont… je sais seulement la puissance de ce désir, de cet appel du sexe, et je vois dans cette vulve ouverte comme un chez moi de toujours, auquel il est inutile de résister. Je m’y engouffre, et tandis que Sandra pince et frotte et irrite et caresse et dévore et fait exploser le clito de maman, je lèche son sexe ouvert, sa fente humide, ses lèvres irriguées de sang, sa vulve dans laquelle se mêlent ma salive et sa mouille abondante. Elle est totalement offerte, elle est une femme avide de sexe, elle est une femme qui ne sait plus ce qu’elle fait, elle est ma mère qui se donne à moi, et quand je me relève, présentant mon sexe à l’entrée de sa chatte, Sandra, qui la prend à pleine bouche en lui palpant les seins, la pousse doucement à venir engager son fourreau sur ma tige. C’est un moment magique ; mon sexe et celui de maman se rencontrent, s’apprivoisent, je ne sais lequel prend l’autre, lequel entre, lequel accueille, lequel glisse, je ne sais si c’est moi qui alterne des mouvements d’avant en arrière ou elle d’arrière en avant, et Sandra règle notre rythme, puis s’écarte et vient poser son sexe sur la bouche de maman, qui la gobe avidement, qui la lèche comme furieuse. Spectacle incroyable : je baise maman, qui baise Sandra, et cette maman plus jeune jouit de nous regarder jouir l’un de l’autre ; ça sent la mouille, la sueur, le désir, ça sent le sexe et la joie partagée, ça sent une odeur animale de rut et en même temps quelque chose de très doux, de profond et d’intime. Curieusement, Sandra est la première à venir sur la langue de maman ; puis c’est maman qui tremble sous mes assauts, qui gémit très fort, qui se met à pleurer, et enfin c’est mon tour, et j’explose en elle puissamment, plus fort que jamais. Je n’en reviens pas : je viens de baiser ma propre mère, elle vient d’écarter ses jambes pour moi, de jouir de ma bite, je viens de l’inonder de ma semence, et le tout sous le regard et avec la complicité attentive et participative de sa propre sœur, de ma tante. Je suis le plus heureux et le plus fier des hommes.
Nous nous séparons silencieux, épanouis mais sérieux : quelque chose vient d’arriver qui change à jamais nos vies, nous le savons tous. Sandra m’emmène me laver, et nous laissons maman seule. Elle nous rejoint peu après sous la douche, nous embrasse avec tendresse, je pourrais dire comme une mère, sinon que nous sommes tous les trois nus et que je suis de nouveau en érection. Nous nous savonnons mutuellement en riant, et maman pousse Sandra contre le mur, la fait se tourner, et prend ma bite qu’elle dirige sans un mot vers le cul tendu en arrière de Sandra. Et contrairement à ce que j’attendais, elle me pousse dans son petit trou, elle veut que j’encule là sa sœur, devant elle, et elle flatte mes couilles en doigtant doucement l’anus de sa frangine. La caresse n’est pas nouvelle entre elles, semble-t-il, et réveille des souvenirs lointains de leur passé ; Sandra se trémousse, écarte les jambes, et maman reprend mon sexe pour le positionner, puis passe derrière moi et, en même temps qu’elle me pousse dans le cul de sa sœur, elle commence à me doigter le cul, maman est en train de me doigter le cul ! Je bandais de nouveau, mais je n’étais pas encore très dur : autant dire que c’est fait, je suis rigide comme une barre à mine, et Sandra a l’air d’adorer avoir cette barre à mine qui lui défonce le fion, elle crie en jouissant tandis que maman m’a enfoncé deux puis trois doigts. Je ne sais pas s’il faut que j’avance davantage pour pénétrer ce petit cul d’enfer, ou s’il faut que je recule pour sentir la main de ma mère dans mon anus ; les deux sont un délice, les deux sont plus que jouissifs ; je prends Sandra par les hanches pour la bourrer sauvagement, et soudain j’ai le cul qui explose : maman m’a fisté, elle a foutu sa main entière et elle me la tourne dans le fondement ! Elle sait exactement comment me faire jouir, comment m’amener à l’orgasme le plus puissant, et c’est tellement dévastateur qu’elle me retient pour que je ne m’effondre pas en jouissant dans le cul si serré, si élastique en même temps, si chaud, de Sandra. Deuxième puissante giclée de la journée, deuxième orgasme, et Sandra tremble encore pendant que maman retire doucement son poing, et reprend le savon pour nous nettoyer à nouveau. Moi qui croyais que tout venait de Sandra et que maman s’était laissée faire, je découvre une facette inconnue de ma mère : c’est une vraie folle de cul, elle aime ça au-delà de toutes les limites, c’est peut-être même ça qu’elle aime, ce qui outrepasse les limites, sa sœur, son fils, sa sœur en même temps que son fils…
Dommage que je n’aie pas de sœur, moi aussi !
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