Lucette frise la soixantaine, son mari Paul la néglige sexuellement. Le sexe ne l'attire pas trop. Ils ont deux enfants Morgan 21 ans et Manon, 19 ans. C'est une famille sans problème, Lucette est très fusionnelle avec ses enfants. Mais le manque de sexe pèse sur elle, souvent, le soir lorsque son mari dort, elle se masturbe férocement. Ses jouissances sont si fortes qu'elle se mord la main pour ne pas hurler son plaisir.
C'est le week-end, ses enfants n'ont pas cours à la fac, ils font la grâce matinée. Paul est un lève-tôt, il a préparé le petit déjeuner et comme chaque samedi, il va à la pêche avec son ami Serge.
Lucette descend en nuisette, la transparence du tissu laisse voir qu'elle est nue en dessous. Elle s'étire comme un félin, sa nuisette porte encore des tâches, de ses masturbations nocturnes. Elle regarde dans la cuisine, personne, dans le salon et la salle à manger idem. Elle se croit seule, elle se dit qu'elle a le temps de prendre une douche. Elle se dirige vers la salle de bain, elle fronce les sourcils, elle entend l'eau couler.
La porte de la salle de bain est entrouverte, elle pousse doucement la porte, et là , elle voit son fils sous la douche. Malgré la buée et elle distingue nettement son corps athlétique. Le bougre se frotte énergiquement le corps, en s'attardant sur ses parties génitales. Ses doigts passent sur son anus. Soudain, un disparu comme aspiré. Le coquin fait quelques allers et retours avant de reprendre sa toilette. Il verse du gel douche sur sa verge, la décalotte, l'enduit bien de produit. Et commence à se masturber. Lucette écarquille les yeux, elle voit le membre prendre beaucoup de volume.
Les coups de poignet de son fils sont violents, il grimace. Soudain, il se cabre et envoie contre la paroi transparente, plusieurs jets de sperme, qui glissent en laissant une trace sur la paroi.
Lucette serre les poings, jamais, elle n'aurait imaginé que son fils soit si bien membré. Sa chatte suinte, un petit filet de cyprine coule le long de ses cuisses. Elle respire mal, peur de se faire voir, elle rebrousse chemin discrètement.
Elle se rend à la cuisse, et se verse une tasse de café, ses mains tremblent tellement qu'elle en renverse sur la table. Elle s'assoit, et se remémore ce qu'elle vient de voir. Ses sens se mettent en ébullition. C'est plus fort qu'elle, elle glisse sa main sous sa nuisette et saisit son clito. Elle se masturbe si fort quelle grimace en serrant les dents. Son fils sort de la salle de bain entièrement nu, pensant qu'il est seul, il se dirige vers l'escalier.
Il passe devant à cuisine, il voit sa maman grimaçante se masturber férocement. Elle se tend comme un arc et explose. C'est à ce moment qu'elle voit son fils. Elle rougit fortement, en ravalant sa salive. Il s'approche d'elle, lui donne un baiser sur le front pour lui dire bonjour et comme si de rien n'était, monte dans sa chambre.
Lucette, honteuse, regarde sa nuisette trempée par le jet de cyprine qu'elle a envoyé. Elle est sans force, elle s'en veut à mort de s'avoir laissé surprendre par son fils. Elle reprend peu à peu ses esprits et va prendre sa douche. Pendant ce temps, Morgan redescend, il porte un short et un t-shirt, et va prendre place à table pour prendre son petit déjeuner. Enfin Lucette termine sa toilette, elle enfile un peignoir de bain et sort de la salle de bain. Elle s'assoit en face de son fils pour prendre le petit déjeuner qu'elle n'a pu avaler avant.
Les regards se croisent, le repas se passe sans un mot. Morgan termine le premier, il se lève et va au salon s'assoir sur le canapé. Peu de temps après, sa maman le rejoint. Elle a honte, elle lui dit avec des trémolos dans la voix :
-Je te demande pardon mon chéri, j'ai honte de moi, tu dois penser que j'ai un problème, mais je dois t'avouer que je t'ai vu dans la douche, et cela m'a perturbée, tu connais la suite !
Sa maman se met à sangloter, il se lève, l'enlace et lui donne une multitude de baisers sur tout le visage, il lèche même les perles salées que ses yeux lâchent. Il lui dit tendrement :
-Maman, je n'ai pas le droit de te juger, ce que tu as fait, c'est que ton corps le demandait, je ne vois rien de mal là -dedans !
Lucette se laisse choir sur le canapé, en tombant, les pans de son peignoir s'ouvrent, et découvre largement ses cuisses. Morgan écarquille les yeux et dit :
-Ouah, tes cuisses sont magnifiques, maman, papa ne doit pas s'ennuyer avec d'aussi jolies cuisses !
Lucette hausse les épaules et répond :
-Il n'en profite même pas !
Morgan repousse encore plus le pan du peignoir, pour voir plus loin les cuisses de sa maman. Il reste les yeux figés, car en faisant ce geste, il découvre la vulve de sa maman, il n'a que quelques secondes pour regarder la fine toison soyeuse, car sa maman d'un geste vif referme les pans du peignoir. Il dit, en ne quittant pas du regard les jambes que sa maman tient serrée :
-Oh maman, quel beau fruit, fais voir, fais voir, je t'en prie, comment papa peut-il se passer d'une si belle chose !
En disant ses paroles, il pose sa main sur sa cuisse et la glisse doucement sous le peignoir. Lucette se cabre légèrement, elle regarde son fils, ses yeux brillent. Il répète avec insistance :
-Fais voir maman, fais voir !
Sans savoir pourquoi, Lucette desserre les cuisses, la main de son fils s'engouffre dans la brèche, et du bout des doigts, il frotte les grandes lèvres. Sa maman a un geste de défense, elle plaque sa main sur celle de son fils et la stoppe net.
Mais le bougre est costaud, il réussit malgré la pression de la main de sa maman sur la sienne, à titiller les lèvres bien que pendantes, elles sont bien dessinées. Morgan tente de l'amadouer :
-Maman, il faut prendre le plaisir ou il est, je sens ton corps vibrer, laisse-moi te donner ce que papa te refuse !
Lucette pousse de nombreux soupirs, le contact des doigts sur sa vulve la rend fébrile, inconsciemment, elle lâche la main de son fils qui profite de l'occasion pour lui saisir le clito. Il le branle de plus en plus vite, la boule magique a doublé de volume. Lucette geint, elle ouvre largement les cuisses, agite son bassin. Le branlage que lui impose son fils porte ses fruits, la maman se tend comme un arc qui lance sa flèche, et explose de jouissance. La jouissance est si violente que la maman repousse la main de son fils et serre les cuisses fortement, en se cabrant.
Lucette reste les yeux grands ouverts, elle respire bruyamment. Elle se tourne vers son fils et lui dit :
-Oh mon Dieu, je suis une maman indigne, nous venons de faire une chose horrible, je n'oserai plus me regarder dans un miroir !
Morgan se penche sur elle et lui répond :
-Maman, tu as besoin d'amour, moi, je peux t'en donner autant que tu veux, laisse-moi t'aimer comme tu le mérites !
Lucette regarde son fils, ses yeux s'emplissent de larmes, elle dit :
-Mais mon chéri, c'est immoral l'inceste, je ne suis pas près de l'assumer !
En lui déposant un baiser sur les lèvres, il ajoute :
-Mais maman, nous venons juste de commencer à pratiquer l'inceste, pourquoi se refuser ce bonheur, en n'allons pas plus loin !
Des larmes coulent sur ses joues, elle pince les lèvres et en prenant une grande aspiration dit :
-Mais mon chéri, tu me rends folle, cesse de me torturer, je t'en prie !
Il insiste :
Tu en as envie autant que moi, je te sens vibrer, donne-toi à moi ma chérie !
Il relève sa maman, et l'enlace. Il pose ses lèvres sur celles de sa maman, et lui force la bouche, sa langue taquine la sienne, Lucette voudrait bien repousser son fils, mais il se passe le contraire, elle le serre très fort et noue sa langue à la sienne. Le baiser est très long, un échange de salive se fait, le baiser cesse. Morgan lui fait glisser le peignoir hors des épaules et le fait tomber au sol. Il bascule sa maman et sur le canapé, lui ouvre les cuisses, il se laisse tomber à genoux et plaque brusquement sa bouche sur la vulve en ébullition.
Il aspire tout le jus que la chatte en feu rejette. Sa langue s'enfonce dans le puits d'amour, le fouille profondément. Lucette ne peut retenir ses gémissements. Mais dès qu'il lui gobe le clito, elle se cabre comme un cheval qui rue en poussant un gémissement terrible. Morgan suce la perle comme un bonbon. Sa maman grogne de plaisir en agitant son bassin. Une jouissance phénoménale la fait hurler. Lucette se vide de son jus, une flaque de cyprine s'étend sur le sol.
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