Marcel a un fils Justin de 21 ans, d'un premier mariage, il épouse en seconde noce Marion, mais son fils voit cela d'un mauvais œil. Il faut dire que dès la première fois qu'il a vu Marion, il s'est montré déjà envers elle, exécrable, odieux, voire méchant sans raison apparente, tout cela se passait lorsque Marcel était absent.
Elle n'a jamais montré d'agressivité envers lui, elle a toujours voulu, arrondir les angles, ce qui la rendait malheureuse, c'est qu'elle éprouvait même des sentiments pour lui.
Maintenant qu'elle habite avec eux, elle vit un enfer. Ce n'est que reproche, tout est bon pour Justin de la mettre plus bas que terre. Souvent Marion s'enfuit dans sa chambre pour sangloter, un jour, elle n'en peut plus, elle en parle à son mari, qui interpelle son fils pour remettre de l'ordre dans la maison. Depuis, Justin n'adresse plus la parole à sa belle-mère, il ne lui lance que des regards tranchant comme des couteaux.
Comme sa chambre n'est pas loin de celle de son papa, il entend les gémissements des deux amants qui font l'amour. Cela le met en rage, il frappe l'oreiller avec ses poings, en vociférant. Il se tourne et retourne dans son lit sans trouver le sommeil. Un jour que les ébats étaient plus expressifs qu'à l'accoutumée. Il se lève le matin, les yeux cernés, il est encore mort de fatigue.
C'est à ce moment-là que sa belle-maman sort de la salle de bain en peignoir, Marcel et au potager. Justin en boxer se dirige vers la salle de bain, comme le couloir est étroit, il profite de cette situation pour se coller à elle. Il passe très lentement, en frottant son corps contre celui de sa belle-maman, qui se colle au mur le plus qu'elle peut. Il reste un moment appuyé contre son corps sans bouger, en l'a regardant droit dans les yeux. Marion s'attend à une volée de bois vert, mais non. Justin lui saisit la tête avec ses mains et dépose un baiser très appuyé sur ses lèvres en marmonnant :
-Oh toi, toi, je te hais !
Dans la foulée, il lui donne un second baiser sur les lèvres. Marion ne comprend plus rien, elle reste coite. Justin lui tire sur les hanches, pour bien sentir son corps, mais involontairement dans l'action, les pans du peignoir s'entrouvrent, Justin à contre son torse les seins généreux de Marion, doucement le bougre remue son thorax pour bien sentir les mamelons contre sa peau.
Marion reste muette, elle est tétanisée. Enfin, il lâche Marion, et avant d'entrer dans la salle de bain, il la regarde longuement. Marion, reste appuyée contre le mur, abasourdie par ce qu'il vient de se passer.
Depuis ce jour, le climat entre la belle-mère et le beau-fils semble s'adoucir. Plus de violence verbale, ni de reproches injustifiés. Ils échangent même des regards discrets, et parfois de petits sourires. Cela trouble Marion qui ne sait plus à quel saint se vouer, est-ce le calme avant la tempête, elle se pose la question.
Marcel est ravi, qu'enfin son fils soit devenu raisonnable, et qu'il admet dans la maison une autre femme, que sa maman biologique. Pendant les repas, lorsque Marion veut prendre quelque chose sur la table, Justin s'empresse de lui donner ce qu'elle cherche. Dans le mouvement, Leurs mains se frôlent, Marion frisonne.
Quelque chose change chez Justin, il est plus prévenant, est-ce reculer pour mieux sauter. C'est le week-end, le matin, lorsque sa belle-mère et devant sa gazinière, vêtue que d'une blouse mal boutonnée. Le fin tissu laisse deviner qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Justin, comme chaque matin, descend en boxer. Il contemple sa belle-mère, qui, trop occupée, ne l'a pas entendue descendre l'escalier.
Il s'approche à pas de loup, Marion fait tomber sur le sol un objet. Elle se penche sans plier les genoux. Sa blouse remonte et laisse voir une partie des lobes fessiers. Justin reste sans voix, devant un si beau spectacle. Une fois qu'elle se relève, il s'approche comme un félin, et l'enlace. Surprise Marion sursaute, elle veut se retourner, mais un baiser sur sa nuque et la voix de Justin la dissuade.
-Bonjour Marion, bien dormi !
Elle bègue un peu en répondant :
-Oui, oui, très bien et toi !
Il ajoute en la serrant très fort :
- Moi pas très bien, tu t'es bien fait éclater cette nuit hein, j'ai tout entendu, oh la vache comme tu jouis, c'est terrible, du coup, j'ai déchargé dans mon boxer !
Marion rougit, elle ne dit pas un mot, elle sent contre son fessier l'érection naissance de son beau-fils. Agilement, elle se retourne, les visages sont très près l'un de l'autre, les souffles chauds se mêlent. Il la serre très fort, en cherchant ses lèvres. Elle le repousse :
-Mais, mais tu es fou, qu'est-ce qui te prend Justin !
Brusquement, il lui tire sur la blouse, fait sauter quelques boutons, ses seins apparaissent, il les embrasse comme un fou en disant :
-Mais tu ne comprends rien, je t'aime depuis le premier jour que je t'ai vu, je te menais une vie d'enfer parce que j'étais jaloux de mon père, je t'aime, je t'aime, je suis fou de toi !
Marion reste sans voix devant de tels aveux, elle tente de refermer sa blouse, mais des boutons manquent. Elle ne peut couvrir sa poitrine entièrement. Justin l'enlace à nouveau, Marion soupire fortement, en disant faiblement :
-Mais Justin, je peux être ta maman, et en plus, je suis la femme de ton papa, soit raisonnable !
Il dit en ravalant sa salive :
-Je te désire si fort, que je suis prêt à commettre l'irréparable !
Il ondule doucement du bassin en se frottant contre le sien, la verge tendue au maximum appuie sur le ventre de Marion qui soupire profondément. Très mal à l'aise, tant bien que mal, elle réussit à se dégager. Elle regarde l'énorme bosse qui déforme le boxer, en effet une grosse tache de sperme séché, est dessinée sur le tissu.
Subitement, il baisse son boxer, sa verge jaillit sur son bas-ventre, en oscillant. Le membre dressé semble redoutable, Marion serre les poings et dit avec des trémolos dans la voix :
-Range ça Justin, si ton papa nous surprenait, il se poserait pleins de questions, soit un grand garçon, remonte ton boxer !
La journée se passe un peu tendue entre Marion et Justin, elle ne sait que faire, en parler à son mari de l'amour que son fils a pour elle, ou en garder le secret. Sa nuit fut agitée, elle revoit encore la verge dressée sur le bas ventre de son beau-fils. Doucement et sans savoir pour quelle raison, elle passe sa main sous sa nuisette et se masturbe discrètement pendant que son dort. Une intense jouissance la fait gémir, elle se mord la main pour ne pas hurler son plaisir.
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