Je me présente, je m’appelle Valérie.
Voilà plus d’un an que Luc, mon mari, me soumet à la tentation d’une croisière en mer. Nous sommes âgés de vingt deux ans, et vingt cinq pour mon, et sommes jamais partis en vacances. C’est un peu nôtre lune de miel.
C’est mon mari qui s’est occupé de la location du bateau, un catamaran de douze mètres de long. Ce sont les propriétaires qui nous servent de skipper.
Je n’ai prévu sue des vêtement d’été. Petite robe à bretelles, et quelques maillots.
Paul, bel homme d’une cinquantaine d’années, nous emmène à nôtre luxueuse cabine. C’est Lise, son épouse, qui s’occupe du ménage et de la cuisine.
C’est Kevin, leur neveu, qui fait office de skipper.
Dix minutes plus tard, nous prenons le large.
- Quelle belle journée, dit Paul, vous pouvez vous baigner, su vous voulez.
On regagne nôtre cabine, et enfilons nôtre maillot. De retour sur le pont, j’entends les sifflements admiratifs de Paul, ce qui me fait sourire. Je croise le regard de mon mari, qui lui, ne sourit pas. Je décèle même un brin de jalousie. Pourtant, même si Paul est très séduisant, je suis très fidèle, et ce ne sont pas les éloges, qui me feront tromper mon mari. A part Kevin, tout le monde se jette à l’eau.
Après quelques brasses, et une petite heure de bronzette, Lise de lève pour aller préparer le repas.
- Voulez-vous que je vous aide ?
- A oui, c’est pas de refus.
Et me voila en cuisine à éplucher les légumes.
- Il est beau gosse, vôtre neveu.
- Attention, il aime les belles femmes, même mariées, et vous êtes très belle.
Vers vingt neuf heures, on passe à table, sauf Kevin, qui préfère naviguer de nuit.
A la fin du repas, le visage de mon mari devient blanc. Il se précipite aux toilettes pour vomir.
- Tenez, dit Paul, prenez ça, ça vous camera et vous fera dormir.
Luc le remercie, et je lui propose d’aller s’allonger à la cabine.
Vers minuit, ne pouvant dormir, je j’enfile une nuisette, et décide d'aller prendre l'air. Je monte sur le pont, et aperçois Kevin à la barre, en bermuda, torse nu.
- Il fait un temps magnifique, lui dis-je.
- Oh oui, répond-il. Vous avez vu la lune? La nuit va être claire.
- C'est dur à conduire un engin comme çà? Demande Valérie
- Pas du tout, répond Kevin. Vous voulez essayer? Tenez, prenez les commandes.
- Vous croyez que je vais y arriver? .
Il se place derrière moi, et pose ses mains sur les miennes.
- Voilà, dit-il, tenez bien les manettes.
Doucement, il me lâche, et pose ses mains sur ses hanches. La nuisette n'est pas épaisse. Il doit sentir toute mes formes jeune femme. les mains remontent et se posent sur mes seins. Les bouts érigés par une légère bise, tendent le tissu.
Je suis traversée par un agréable frisson. Une douce chaleur envahit mon bas ventre.
- Ha..ha..s'il vous plaît, soupire-je. Si quelqu'un nous surprend. Arrêtez.
- Tout le monde dort à cette heure ci, me rassure Kevin.
Je commence à se soumettre. ma respiration s'accélère. L'humidité gagne ma chatte.
- Salaud, soufflais-je, quittez ma nuisette, ce sera mieux si je suis toute nue.
Kevin me force à écarter mes jambes pour pouvoir glisser une main.
- C'est quoi çà, dit-il, c'est bien mouillé.
- C'est ma petite fente, caressez là, surtout mon clitoris. Ha..ha..oui...c'est bon.
Je lâche les commandes, et passe mes bras en arrière. J’écarte le short par l'entre
jambes et prend un testicule dans chaque mains.
- Et çà, c'est quoi? Demandais-je, une belle paire de couilles. Et cette grosse queue, tu
vas me la mettre, hein? Salaud. Vas-y, nique moi maintenant que tu m'as excitée.
Je me cambre en arrière pour mieux se faire prendre.
Kevin, la queue en érection, me pénètre...je pousse un cri de plaisir.
- Hou..hou..gémis-je, caresse le bout de mes seins, mon clito aussi, oh putain, si on
m'avait dis que je prendrais un coup de queue ce soir. Ha...ha...oui, comme je jouis.
Oui, vas y, viens toi aussi, fais toi plaisir. rempli moi la chatte, elle en meurt d'envie.
- Tu es une petite salope, toi, tu aimes te le faire mettre, hein? tu me fais jouir là, ouais,
vas-y, bouge ton cul, salope. Il;faudra me nettoyer tout çà après.
- Ouais, qu'est-ce-que tu m'as mis. Ça fait un bail que tu as pas tiré une femme. Tant mieux pour moi.
Je se retourne, prend Kevin par la nuque, et l'embrasse.
- Ou ta queue est-elle allée se nicher pour être sale comme çà? Ironisais-je, en lui
tenant la bite. Elle est pleine de mouille. Allez, viens.
Elle s'assied sur une chaise qui se trouver contre la cloison, l'attire vers elle, et lui prend la queue entièrement décalottée du bout des lèvres. Elle a ses jambes écartées aux maximum. Kevin fait tourner un doigt sur mon clitoris entièrement décalotté.
- Tu vas me tailler une bonne pipe, et tout avaler salope, oui...oui...que tu es bonne.
- Et moi, dis-je, regarde comme je suis écartée par ta faute. Hum, c'est bon,hein...ça
c'est de la baise. Je vais bien dormir.
Je rejoins ma cabine. En passant devant celle de Lise et de Paul, j’entends parler.
- Allez, laisse moi dormir, disait Paul.
- Tu as vu ta queue comme elle est raide? Répond Lise, elle dort pas elle. Laisse moi te
sucer au moins. C'est Valérie qui te fais cet effet, salaud. Tu aimerais te la faire, hein?
Surtout qu'elle à l'air chaude. Je l'ai surprise avec Kevin sur le pont. Tu l'aurai entendu jouir. J'ai l'impression qu'elle aime la queue.
- C'est vrai que j'aimerai bien la baiser, poursuit Paul. Quel canon. Allez, tu me la taille
cette pipe? Comme tu es écartée, tu attends que je te chatte, c'est çà?
" Mon dieu, qu'est-ce-qu'il m'arrive," pensais-je. Je s'allonge prêt de mon mari.
" Mon chéri, quelle idée on a eut de faire cette croisière. T’es malade comme un chien, et, en plus, non seulement je t'ai trompé, mais je me suis faite surprendre par Lise."
A peine sorti de mes réflexions, que j’entends frapper à la porte. J’ouvre, c'est Lise. Elle vêtue d'une nuisette ultra courte. tout comme moi.
- Je venais voir si çà allait, dit Lise.
- Entrez, réponds-je. C'est toujours pareil, il dort.
Lise m’attrape par le menton, et pousse contre la porte. Puis, elle glisse une main entre mes cuisses. J’ai compris, et me laisse faire . Machinalement, j’écarte mes jambes.
- Vous allez tout balancer à mon mari? Demandais-je. Vous attendez quoi de moi?
- On trouvera bien une solution, ma chérie, répond Lise. Fais voir si cette est toujours mouillé. Viens t'allonger. N'est pas peur, il dort.
Je m'allonge à côté de mon mari, un bras pendant hors du lit. Lise se met à genoux, et commence a caresser ma chatte.
- Tu aimes qu'on te chatte, hein? Et ton petit trou, fais voir un peu que je le doigte. Hum.
C'est bon. Et toi, tu as pas une main?
Je lance ma main entre les cuisses de Lise. Celle ci pousse un petit cri de plaisir.
- Ben, dit dont, gémit Lise, directement sur mon petit bouton? Vas-y, joue avec lui, petite
vicieuse. Tu me fais du bien là. tu me fais jouir. Ha...ha...oui...oui...
- Moi aussi je joui, pleurais-je, je suis devenue une vraie pute. Mais c'est tellement
bon, encore, encore oui hou...hou.. On recommencera un de ces jours j'espère.
- En fait, poursuit Line, c'est une des solutions que j'avais envisagé. Mardi, c'est
l'anniversaire de Paul, et je pensais t'offrir en cadeau. Qu'est-ce-que tu en penses?
- Coquine, dis-je, tu veux partouzer. D'accord. Dis moi, Kevin, il te tringle pas un peu.
Allez, avoue.
- C'est vrai, répond Lise, une fois par semaine, il passe à la maison. Il me nique pendant
deux heures. C'est un bon étalon, plutôt bien monté.
- Putain, ajoutais-je, s'il est bien monté. A côté de mon mari. J'en ai pris plein la chatte et la bouche hier soir, çà c'est un mâle. Et le tien, il est bien monté.
- Surprise, répond Lise, tu verras mardi.
- Attention, poursuis-je, je suis jeune, s'il tombe sur un jour ou je suis en chaleur, çà va
lui faire drôle.
- T'inquiète pas, répond Lise, tu seras pas déçu. Et au fait, Luc, il est bien monté?
j’écarte le drap, et lui sort entièrement ses attributs
- Tiens, constate par toi même, dis-je.
Lise soupèse les couilles de Luc, joue avec la queue, s'attardant sur le gland qu'elle prend soin de décalotté en jouant avec le prépuce. Aucune réaction.
- C'est dommage, regrette Lise.
Je glisse une main entre les cuisses de Lise.
- Et cette chatte toute mouillée, ce clitoris décapuchonner, c'est pas dommage, hein?
Salope, viens ici qu'on se suce. On va bien s'éclater toutes les deux.
- Oh putain, mais tu mors mon petit bouton, se plaint Lise. Attend, vilaine, tu vas voir.
- Aie aie, ouais, vas-y, pince le ce salaud, suppliais-je, ha...ha.. je joui, oui..encore...
- Que c'est bon, gémit Lise, moi aussi je jouis, hou...hou..ha oui..oui hum.
Mardi, vers huit heures trente, je sonne à la cabine de Lise. Elle ouvre.
- Bonjour ma chérie, dit Lise.
- Je suis venu, comme convenu, réponds-je.
- Habillé comme çà, tu ferai bander un mort, dit Lise. Fait voir. Pauvre chérie, mais tu es
toute mouillée. Ta chatte a envie de prendre un bon coup de queue. Justement, on est
encore au lit avec Paul. J'étais en train de le sucer. Tu vas voir son fifre comme il est raide.
- Ma chérie, dit Paul, viens vite qu'on s'amuse un peu.
Je me jette sur le lit, et me couche sur le côté, blottit contre Paul. Je passe une
jambe par dessus son corps, et me retrouve les cuisses écartées.
Lise saisit la queue de son mari, et la présente contre ma chatte.
- Allez, mon chéri, prend la.
Je prends Paul à pleine bouche, et le fouille avec ma langue. Petit à petit, je sens sa
queue qui me pénètre.
- Alors, mon trésor, dis-je, bon anniversaire. Ta femme t'a fait un beau cadeau. Te taper
une jeune de vingt deux ans. Tu sens comme je te serre dans ma mouille. Doucement, on a tout le temps.
Lise, elle, caresse mes fesses cambrées. Son majeur se fait de plus en plus vicieux.
- Ta femme, tu sais ce qu'elle me fait, elle me doigte mon petit trou cette salope. Vous me tenez tout les deux, hein? .Ha..ha...ha..oui je joui, ha..ha je jouis. Vas-y, vide toi tes couilles dans ma chatte.
- Oh oui, je me vide, Lise, elle me fait cracher, han..han oui.
- Eh, ho, calmez vous tout les deux. C'est pas encore fini, Paul .Il te faut la sodomiser,
et te faire tailler une bonne pipe. Après, c'est à moi.
- Vous êtes deux salauds, dis-je, je vais vous épuiser, vous allez me supplier d'arrêter.
Paul, sodomises moi en levrette.
Je me positionne pour recevoir la bite de Paul dans mon petit trou. Il n'a pas flanché d'un poil. Il me pénètre violemment. Mon cri traverse l'appartement.
- Comme il m'encule le salaud, oh putain, il va me déchirer.
Je passe une main entre ses jambes.
- Et c'est quoi qui pend là, c'est tes grosses couilles, hein. S'il te plaît, prend mes seins.
et toi Lise, gratte mon clitoris, puni le ce polisson.
- Je joui, cri Paul, c'est pas vrai, deux fois coup sur coup. Ha..ha..oui, tu me sens chérie.
- Bien sur que je te sens, réponds-je, ta bite est tellement grosse, fais toi plaisir, vide toi.
Les jets de spermes déferlent dans mon petit orifice. Épuise, Paul s'écroule sur le lit.
- C'est quoi çà, demandais-je. A non, pas de pause. ta pipe maintenant. Toi Lise, je veux que tu me chatte, OK? Après, je m'occuperai de toi.
- Mais Valérie, se plaint Paul, dix petites minutes, s'il te plaît.
Il a pas fini sa phrase, que je le saisis par les couilles, et le tire vers elle. De ses lèvres humides, elle décalotte le gland, insistant sur le méat, et avale la queue.
- Tu as trouve une partenaire qui te mate, n'est-ce pas chéri? Ironise Lise.
- Mais, comme elle fait, je vais encore jouir, hurle Paul, je crache, tiens , avale çà.
- T'inquiète pas, mon chéri, j'avale tout et je nettoie, réponds-je la bouche pleine.
Je libère la queue de Paul, mais la tient toujours en main.
- Regarde ton nœud comme il est décalotté, il est tout rouge. Et tes couilles, elles se sont vidées, hein,
Je tiens la base du gland avec deux doigts, et écarte le méat avec deux autres.
- C'est par là que tu m'as rempli de partout, hein? salaud. Maintenant, je vais m'occuper
de ta femme.
Georges tombe du lit, et s'écroule sur la moquette.
- A nous deux, Lise, je sais s'il te restera assez de mouille.
Lise a un sourire en coin, elle est vicieuse, expérimentée, pouvant faire semblant s'il le faut. Je risque de tomber de haut.
Je m'allonge sur elle et lui écarte les les jambes de force. Je prend position de sa chatte, accrochant le clitoris au passage. Mais, dans cette position, je lui offre tout mon corps. Chatte, petit trou et seins.
Lise décide de passer à l'attaque. Elle fait front sur les trois points.
- Ha, hurlais-je en me dressant sur les genoux. Oh putain.
Je cambre son corps en arrière. Je suis prise, et bien prise.
Une main a pris possession du bas du corps. Deux doigts dans la chatte, et le pouce bien enfoncé dans mon petit trou.
L'autre main joue avec le bouts mes seins démesurés par l'excitation.
- Qu'est-ce-que tu me fait, soupirais-je, je suis paralysée.
- Là, répond Lise, je vais te vider. Tu sens comme je joue avec ton corps de pute. Tu te régales,hein?
Lise froisse mes lèvres humides, fait rouler mon clitoris entre ses doigts.
- Tu vas tomber dans un épuisement total. Tu auras juste la force de me bouffer la chatte. Après, avec Paul, on s'amusera encore avec toi. Tu veux bien ma chérie?
Je m'effondre sur le lit, fesse cambrées, toujours doigtée par Lise.
- T'arrête pas, s'il te plaît, fait moi jouir, vas y, sert toi de moi. Ha..ha..ha..oh oui, que c'est bon d'être une femme, oui, je joui, çà y est, je viens, ha..ha..ha..oui...
Entre temps, Paul a refait surface. Il a repris sa place sur le lit. Je suis blottie au
milieu du couple.
- Tu pourras pas satisfaire ton mari ce soir, dit Lise.
- Tant pis, il s'agit que moi je le soit. Oh, tu as retrouve la forme Paul, ta queue est
toute raide.
- Si on remettait çà jeudi, propose Lise, enfin si Valérie est d'accord. On pourrai inviter kevin
- Mais, c'est une super idée, jubilais-je, j'espère qu'il me donnera un bon coup de queue.
- Çà va partouzer grave, se réjouit Paul.
Et voilà, rendez vous est pris.
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