La veuve interdite
Nous étions un vendredi de la mi-mars, entre deux semaines particulièrement pluvieuses, une atmosphère tempérée s’était installée pour esquisser le printemps. En cette fin d’après-midi, au fond du parking désert d’un centre commercial, une vieille Audi A3 aux jantes démodées vint stationner à côté d’une vieille 207 grise. Tout en consultant ses messages, le conducteur de la française branlait son sexe en surveillant du regard le flirt d’un jeune couple sur sa banquette arrière.
Le conducteur de l’allemande descendit et vint frapper à la vitre du conducteur, le chauffeur rengaina et descendit sa glace, avant de remettre une barrette de « flow » en échange de quelques billets. Discrètement, le regard de Robin ne put s’empêcher de vérifier la sensualité de la fille sur la banquette arrière : le branleur s’agaça.
- Elle te plait la salope ?
- Non.
- N’importe quelle meuf vaut la moitié de celle-là !
- Je ne pense pas. Merci. Salut !
Il déposa une légère tape sur le toit de la 207 et fit un pas en arrière, avant que la Peugeot ne démarre.
Une vingtaine de minutes plus tard, Robin immobilisa sa voiture dans la cour d’une grande propriété. Le jeune homme descendit, le portable à l’oreille et il accrocha péniblement sur son épaule ce sac qui lui servait à transporter ses cours et son ordinateur portable.
En entrant dans la demeure d’un étage, il raccrocha, déposa son sac dans le hall, au pied de l’escalier, puis fila dans la cuisine où tournait le lave-vaisselle que sa mère avait lancé avant de partir.
Inquiet, il reprit son portable et tapa un texto :
- Je suis à la maison, je ne sors plus, j’attends ta réponse. Bisous.
Dans le frigidaire, il s’empara d’une bouteille de thé, son sac et se précipita dans l’escalier pour gagner sa chambre. Les murs de son antre étaient recouverts de divers posters et sur les étagères, quelques figurines de « Manga ». Il déposa sa barrette sur le bureau et déballa son sac de cours ; un bloc note percuta le cadre photo d’une femme mûre aux cheveux châtain clair posant à côté de lui et un gâteau d’anniversaire où figurait dix-huit bougies.
Il rangea le dessus de son bureau et fixa le portrait qui lui entraina une légère douleur dans le bas ventre. Il prit à nouveau son téléphone, mais l’interlocutrice n’avait toujours pas répondu à sa sollicitation.
Il fila dans la salle de bains où au milieu de nombreux produits de beauté, il se déshabilla pour révéler sa nudité et une cage de chasteté. Tout à l’heure, son sexe avait commencé à réagir aux stimuli de la photo qui lui rappelaient des moments d’intenses émotions.
La douche froide le décontracta et atténua la douleur du carcan. Après s’être séché, nu, il s’empressa de rejoindre sa chambre où il mit un peu de temps à retrouver son téléphone. La douleur croissante d’une érection le pressa.
- Deuxième tiroir à gauche.
Robin jeta son téléphone sur le lit et s’empressa de rejoindre l’armoire où il découvrit la petite clé libératrice. Il ôta sa cage qui soulagea sa douleur pour mieux générer une belle érection.
Il ne put s’empêcher de caresser son sexe, afin de soulager les douleurs de l’oppression qui avait marqué toute sa journée. Il défia du regard la femme sur la photo en commençant à se branler…
- C’est toi ma petite salope.
Dans le plus simple appareil, il se consacra à ses cours qui eurent raison de son érection. Vers vingt heures, en guise de diner, il s’en alla fumer un échantillon de sa barrette sur le balcon de sa chambre qui donnait sur le parc. La nuit était tombée, il apprécia la relative fraicheur sur sa peau nue, mais surtout, il aimait montrer ce corps parfaitement proportionné qui faisait mouiller les amies de sa mère.
Plus tard, il fit une partie de jeu en réseau en stipulant à sa team que cette nuit, il ne pouvait rester au-delà de 21 heures, mais, à 22 heures, épuisé, il éteignit tout.
Après avoir laissé la porte de la chambre entrouverte et la lampe de chevet allumée, il se glissa nu sous la couette,
Soudain, vers 23 heures, un bruit le réveilla, il venait d’en bas, dans le hall … Robin émergea doucement toujours prisonnier d’un demi-sommeil. Il patienta à l’écoute d’un autre indice, lorsqu’une odeur de cigarette froide lui vint furtivement aux narines, juste avant les claquements de talons dans l’escalier. Il ferma les yeux, fit semblant de dormir ; un ricanement précéda une ombre dans l’entrebâillement.
- Tu ne dors pas ?
Robin tourna la tête vers la silhouette sombre au carré court, frisé et plongeant. Il savoura un mélange d’odeurs, fraiche et un peu moins, mais ces senteurs étaient familières et rassurantes. Elle poussa la porte et franchit le pas perchée sur ses grandes bottes.
La femme de la photo avait une bonne quarantaine d’année, elle portait une robe courte de couleur noire, fendue sur le côté. Une paire de gants en cuir habillait ses mains.
Dans la pièce éclairée par la douce lumière de la lampe de chevet, elle traversa la chambre d’un pas assuré, en direction des volets roulants pour assurer un secret de famille.
- Tu t’es masturbé ?
- Oui, mais juste un peu.
- Mais tu sais que tu ne dois pas jouir ?
- Je ne l’ai pas fait.
- C’est bien. Je t’en félicite.
Elle revint vers la porte et s’approcha du chevet, elle se pencha pour en ouvrir un tiroir ; sa poitrine pesa dans l’étroit décolleté déjà distendu, quelques heures plus tôt, par des doigts explorateurs. Elle s’empara d’une paire de menottes et le jeune homme commença à respirer plus fort… Discipliné, il prêta gracieusement ses poignets pour qu’elles les lui attachent aux barreaux du lit…
- Tu sais que cela est nécessaire… Que ça me brise le cœur, mais on ne sait jamais ce que tu peux faire quand tes hormones se réveillent.
- Mais heureusement tu es là .
Elle lui afficha un sourire et elle tira sur la couette : le corps nu et sec se révéla, ainsi qu’une érection qui semblait se développer de seconde en seconde.
- Comment te sens-tu ?
- Tu me manques, ton corps me manque, je pense à toi tout le temps et je te remercie pour cette cage. J’aimerais entrer en toi.
- Mais tu sais que ce n’est pas possible, je ne prends pas de contraceptif et c’est risqué.
- Je peux mettre une capote.
- Tais-toi ! Tu vas encore perdre le contrôle et comme à chaque fois, tu réaliseras que tu n’es pas digne d’être un homme.
- Pas vrai.
Elle ricana, avant de venir s’allonger à ses côtés ; amoureusement, elle se mit sur le flanc face à lui.
- Tu sais que j’ai horreur des éjaculateurs précoces ?
- Je n’en suis pas un.
- Menteur ! Le week-end dernier ? Qui était celui qui m’a balancé sa purée sur les seins ?
Robin baissa les yeux et détourna le regard avec un profond ressentiment, la femme posa le bout de ses doigts gantés sur le sexe et caressa le gland qui ne tarda pas à délivrer quelques gouttes de semence ; les doigts massèrent l’ogive qui se mit à reluire, suffisamment, pour permettre une prudente branlette de réconciliation.
- Ne me mets pas en colère. Tant que tu n’auras pas acquis ton indépendance, tu feras comme je l’entends ?
- Pardonne-moi !
- C’est mieux ! Tu sais que je ne manque pas de prétendants qui rêveraient tous d’avoir ton privilège : par moment, je te trouve un peu capricieux !
- Non, je ferai tout ce que tu veux, mais je te veux pour moi seul.
Elle arrêta de le branler, il tendit les reins vers elle et sous le regard moqueur, il ne put se retenir de couler, encore, un peu...
La jalousie habitait le cœur de Robin, il savait que sa divine beauté ne laissait pas indifférent les hommes et que bien qu’elle affirme sa chasteté, elle ne l’était pas. Toutes ces soirées qu’elle passait loin de lui, vêtue de robe trop sexy, ne lui permettaient plus de croire en des simples soirées entre copines. Chaque fois qu’elle rentrait, la jalousie murmurait à sa jeune oreille des vérités : sa mère avait racolé dans des bars comme une chienne en mal de bites.
Son décolleté déjà mal mené par une soirée, elle n’eut besoin que d’un geste pour délivrer une poitrine aux aréoles claires qu’elle cala contre le jeune visage. Il savoura l’exclusivité d’un coussin douillet qui faisait fantasmer pas mal de ses camarades de cours.
- Attention, pas de précipitation, tu sais ce que cela a donné la dernière fois.
Pendant qu’il humait les douces effluves, elle reprit une douce branlette sur le sexe tendu, nerveux… Il respirait fort entre ses seins aux senteurs lactées. Elle le relâcha soudainement : son sexe se tendit par deux fois, il se dégagea, ouvrit la bouche en s’inquiétant des conséquences d’un plaisir qui pouvait à tout moment lui échapper.
Sur le regard protecteur, il referma la bouche et tourna la tête vers la poitrine tendue d’où il se rapprocha pour gober une tétine. Ça, il en avait le droit et il ne se gêna pas pour lui prouver ses compétences. Elle fut transportée d’un plaisir qu’elle laissa se diffuser dans son corps.
Elle caressa les couilles de Robin qui avaient doublés de volume…
- On se retient hein ?
Elle lui retira la tétée et elle empoigna fermement ce sexe à la teinte de plus en plus foncée, elle le branla doucement jusqu’à ce qu’elle sente rompre les premières résistances.
Une nouvelle fois, elle s’interrompit en retirant sa main. Le gland refoula et coula le long du menhir lourdement incliné. Le sperme fila vers le ventre, sous le regard sadique ; sa petite main se posa sur le torse…
- Tes cours se sont-ils bien déroulés ?
Il la regarda, hésita et il mima un « oui » du menton.
- Ma soirée a été nonchalante, tous ses hommes qui me regardaient comme s’il voulait me bouffer la chatte !... Toi qui l’as vu, elle n’est pas faite pour tant d’animosité n’est-ce pas ?
Le jeune regarda cette poitrine pleine qu’il avait accidentellement éclaboussée la semaine dernière et qui présentement, frottait contre la sienne.
- Je suis certaine que ces hommes ne pensent qu’à m’enculer !
Le sexe lourd se dressa, une vague de plaisir parcouru le jeune corps jusqu’au morceau de pierre parcouru par des veines qui se dessinèrent un peu plus.
Elle pouffa.
- Ma petite rondelle te fait réagir ? Elle t’excite petit dégueulasse ?
Robin grogna en cambrant le bassin, puis il ferma les yeux pour ne pas se rendre.
- Mais avant, il faut déjà que tu apprennes à te retenir !
Elle ne détacha pas son regard du sexe qui souffrait tout autant que l’homme. Elle le reprit entre ses doigts, réalisa l’incroyable et le poids qui contraignait son poignet.
Robin avait du mal à respirer, il grognait, ses joues écarlates demandait de la fraicheur pour que la folie ne se propage pas trop tôt.
- Tu es un bon garçon… Je suis bien fière !
Elle lui envoya un sourire et il lui répondit, alors qu’elle caressait subtilement son gland qui délivra une noisette de semence qui tomba sur le ventre.
Elle lâcha son sexe, il grogna et elle le disputa.
- Je te trouve exigeant ! Arrête de réclamer ! Je paie une fortune tes cours, alors respect !
Il baissa les yeux.
- Pardon…
- Qui fait les meilleures branlettes ?
- C’est toi ! Les autres ne sont que des petites sottes par rapport à toi.
Elle l’enjamba pour s’asseoir, face à lui, sur ces cuisses parcouru d’un fin duvet ; elle révéla sa peau lisse et sa chatte nue, gonflée, une fente étroite et humide. Le morceau de chair se souleva pour taper contre le ventre ferme, elle se pencha vers lui et le frotta d’avant en arrière ; la douce torture fit balancer la tête du jeune homme alternativement de gauche à droite, sans réaction face à ses tétines qui se tendaient vers lui.
Des cuisses, elle remonta s’asseoir un peu plus haut sur le ventre, elle sentit le sexe passer sous elle et s’abattre sur ses fesses, dans sa raie ; elle souleva son derrière de cavalière pour que le gros chibre bouillant frotte contre sa fente stricte qui libéra pour la première un jus pervers.
Enthousiaste, elle descendit du corps et revint s’allonger auprès du jeune corps. Sa main gantée s’empara du sexe nerveux ; elle malaxa la tête du bélier…
- Vas-y mon bébé.
Elle ne relâcha pas sa prise, Robin donna un coup de reins, son sexe se révolta entre les doigts et il grogna en se rendant… Elle posa sa main libre sur la bouche de son amant et le sexe de Robin vomi une épaisse crème entre le cuir, avant qu’une giclée ne jaillisse dans les airs et ne s’abatte sur la hanche de la noceuse. Une seconde salve s’écroula lourdement sur le décolleté… Le corps de la perverse s’approcha un peu plus près, Robin donna un coup de reins pour expulser deux autres cargaisons, l’une échoua sur le drap, mais l’autre marqua d’un trait épais le visage de la quadra. Par reflexe, elle ferma la bouche, mais ne put s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres nouvellement remaquillées. Sa lubricité la décontenança et elle ouvrit la bouche, juste avant le claquement d’une dernière salve dans le mille qui noya sa langue.
Une odeur de sperme meubla toute la chambre, la gloutonne avala et ses doigts reprirent une lente branle pour extraire les dernières réserves d’une cuvée exceptionnelle.
Robin avait la tête qui tournait, il fut persuadé qu’il avait réussi son examen de passage et que la prochaine fois, sa salope l’accueillerait peut-être au fond d‘elle.
À suivre…
Ce texte est un exercice thématique qui n’engage que des personnes majeures.
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