Depuis le décès de son mari, Christine entretenait des relations insolites avec Robin, son fils. À l’abri des regards, tous les deux avaient appris à mieux supporter le chagrin du deuil en partageant des moments intimes et complices qui faisaient taire cette colère en eux.
Deux semaines venaient de s’écouler depuis cette soirée où Robin avait montré quelques impatiences fassent aux ambiguïtés excessives de sa mère. Le veuvage avait fait naitre en elle des travers malsains tournant autour de l’emprise pour ne pas dire : la domination. Ses nouveaux vices avaient couvé durant des années, alimentés par ses dérives autoritaires à l’agence immobilière où elle exerçait la plus haute des responsabilités.
Mais voilà , le weekend dernier, Robin lui avait refusé sa chambre, son lit et cette bouderie lui avait inspiré le retrait définitif de cette cage.
En cette fin d’après-midi, Christine immobilisa son gros SUV dans la cour de la demeure familiale… déserte. Elle n’aperçut pas la voiture de Robin, c’était étrange, puisque la réalité contredisait son texto reçu plus tôt.
Elle referma sa lourde portière et scruta les alentours, mais en vain. Dans son tailleur jupe, chemisier, elle s’immobilisa sur ses talons hauts. Ses doigts se précipitèrent sur son téléphone où le texto de Robin affirmait qu’il était rentré.
Elle prit sa mallette, inquiète et se dirigea vers la porte d’entrée qui n’était pas fermée à clé : elle n’eut qu’à baisser la poignée.
- Robin, mon chéri : es-tu là ? Je ne vois pas ta voiture !
Un long silence lui répondit et elle abandonna ses affaires dans le salon. Elle se servit un verre et s’assit sur le canapé ; elle renvoya un message pour lui dire qu’elle était à la maison et que tous les deux devaient parler de leur relation.
Dans l’attente d’une réponse, elle sortit de sa mallette quelques dossiers qu’elle feuilleta sans grande attention, lorsque… « la fermeture » d’une poubelle à l’étage lui fit relever le regard.
Christine tourna la tête vers le hall et se leva en direction de l’escalier :
- Robin ? Es-tu là ?
Sa poitrine se souleva plus rapidement, elle serra les dents et monta l’escalier. À l’étage, elle fixa le fond du couloir et la porte de la chambre entrouverte. Soudain, sa nervosité fut tempérée par un gémissement provenant de sa gauche immédiate, de la salle de bains. Sans discrétion, elle poussa la porte et découvrit dos à elle, la stature d’un jeune homme qui était face au lavabo ; il avait baissé son jogging et… il n’était pas son fils !
- Eh !!! Qui êtes-vous ?
Les longs cheveux gras ne lui étaient pas inconnu et, le casque audio plaqué sur les deux oreilles non plus. La situation la troubla et elle hésita à l’interrompre dans sa quête de plaisir, mais rapidement, elle perçut le début de quelques grognements de plus en plus court.
- Prend ça la bourge ! Prend ça ! Je baise ton cul, salope.
Elle assista au retour au calme du jeune homme et elle fut curieuse de voir s’il avait le même rituel que son petit chéri. Malgré le jogging baissé aux genoux, il fit un pas en arrière et se retourna subitement sur Christine : il trébucha en hurlant et manqua tomber contre le lavabo. Sa main tenait toujours son sexe, mais il laissa tomber sur le sol un soutien-gorge maculé de sperme.
- Madame !?!?
- Jordan : mais que fais-tu !?
- Rien, euh, si, je faisais votre lessive. Vous avez du retard !
- Ne me prend pas pour une conne.
Il n’eut pas le temps d’argumenter son mensonge, que soudain, une voix derrière Christine laissa échapper un fou rire.
- Ouah le nullos ! Tu te branlais gros ? Trop la honte !
L’ironie de la situation s’atténua et Jordan, écarlate, remballa son outil. Christine plus mature fit face aux deux jeunes.
- Où est Robin ?
- Il est parti précipitamment, il nous a dit qu’il avait une course, mais qu’il revenait : on l’attend. Peut-être qu’il a une copine qui avait besoin de lui ?
- Non !!! Robin n’a pas de petite copine.
- C’est vrai.
Elle ne remarqua pas les regards appuyés de Théo sur ses formes sexy mise en valeurs par une tenue faite pour diriger.
- Tous les deux, vous devriez partir !
Sans plus d’explication, elle abandonna les deux « branleurs » et elle descendit les escaliers pour rejoindre le salon. Elle fouilla son sac et sortit un paquet de cigarettes, avant d’aller en griller une sur la terrasse.
Adossée contre le mur, personne ne la voyait et surtout, personne ne viendrait lui poser des questions auxquelles elle n’avait pas envie de répondre.
Le regard hypnotisé par l’écran de son smartphone, elle tirait sur sa clope comme pour provoquer l’arrivée de nouvelle rassurante. À nouveau, elle se sentait seule, cette longue série de silences usait son cœur de maman et une larme tentait de déstabiliser ses émotions ; il fallait qu’elle se fasse une raison : elle était en train de perdre son fils.
- Vous savez ce qui ne va pas chez votre fils ?
Elle tourna subitement la tête vers Théo.
- Quoi ?
- Depuis qu’il a perdu son père, il est perdu.
- Le temps va passer et ça devrait aller mieux.
Ses joues se creusèrent et ses lèvres pincèrent le filtre, avant de retirer sa cigarette et d’ouvrir grand la bouche pour expirer une épaisse fumée.
- Est-ce qu’il vous parle de moi ?
- Il vous aime !
- (Elle pouffa) Il préfère la compagnie de ses petites sottes à portable !
- Non.
Théo s’approcha d’elle et Christine lui tendit la fin de sa cigarette ; il la porta à sa bouche en louchant sur ces bonnets copieusement garnis qui se dévoilaient à tous depuis ce matin.
Elle surprit son regard, avant de le descendre sur le futur mégot.
- Tu n’es pas un peu jeune pour ce genre de saloperie ?
- J’ai l’âge d’en faire autant que je veux.
Elle esquissa un sourire à son regard, puis elle lui reprit la cigarette qu’elle plaça nerveusement entre ses lèvres.
Son dos quitta le mur, elle s’éloigna, avant de revenir face au jeune homme ; elle jeta sa cigarette et s’accroupis devant lui. Elle posa ses mains sur le jean ample qu’elle tira délicatement vers le bas… Elle crocha le boxer short et libera un début d’érection. Elle la caressa, l’estimât de ses doigts experts, avant de le mettre simplement en bouche. Elle le suça et l’avala jusqu’à le sentir au fond de sa gorge, avant de le sortir pour apprécier l’ogive et surveiller les réactions de l’apprenti baiseur.
- Ça te va ?
Il demeura silencieux, perdu entre la réalité et le pays des rêves.
- J’ai toujours su que vous étiez une bonne suceuse.
- On ne m’abandonne pas moi ?
- Ça non !
Théo s’intrigua : pourquoi avait-il l’impression que cette question entrait en résonnance avec Robin et cette pipe ?
- Répond Théo !
Il chercha ses mots, mais pas suffisamment vite ; elle se redressa et lui tourna le dos, elle plaqua son derrière sur l’érection, se dandina et Théo remonta sa jupe courte.
Une main déterminée baissa le shorty qui craqua sur l’impatience du jeune homme, il plaqua son dard sur cette fente imberbe et glissa, attiré par un orifice brulant dans lequel il entra patiemment, entier, en savourant la réalisation d’un vieux rêve.
Il n’eut pas à la besogner, elle s’en chargea, allant et venant sur la trique, sous le regard naïf de Jordan qui hésita entre les deux addictions de son âge : le sexe ou le téléphone. Le dernier eu sa préférence.
Christine défonçait sa chatte sur la jeune queue en fantasmant la frustration de ses subordonnés à l’agence. Les mains du conscrit de Robin s’accrochèrent au décolleté, avant d’en faire sauter quelques boutons ; il effleura les rondeurs de la poitrine sur le point de chuter des bonnets, puis il se ravisa et vint serrer fermement le fessier pour l’immobiliser.
Il stoppa l’initiative de la mère pour anticiper sur son propre orgasme. En rythme, il la pilonna… loin… en caressant la douceur d’un corps de femme qu’il avait rarement eu l’occasion d’apprécier dans ses virées « sexes » dans le quartier de la gare.
Jordan éteignit son portable, le mit dans sa poche, avant de sortir son début d’érection. Il se crossa pour raffermir cette queue qu’il avait déjà fait cracher. Il avança sa main libre d’un sein, il glissa ses doigts dans le bonnet et emprisonna la mamelle entre ses doigts, avant d’avancer son mât de cette bouche autoritaire ; Christine hésita, mais elle le refusa. Soudain, Théo poussa un grognement, victorieux, puis un second… La gloutonne s’enivra du plaisir qui fusait en elle, juste avant de prendre en bouche ce nouveau morceau.
Cette après-midi, elle n’allait pas jouir, mais elle sentait un vertige précipiter les battements de son cœur. Elle réalisa, avec une - certaine excitation - ces deux sexes en elle et tout particulièrement celui planté au fond de son utérus, qui recueillait un jus prévu pour « honorer » un simple lavabo.
Théo se retira sans aucune forme de politesse, il remonta son pantalon, tandis que Jordan s’empressa de se retirer de la bouche humide pour choisir un autre orifice tout aussi trempé. Il la saisit par les hanches et transperça la fente juteuse. Plus primaire, il la baisa sur des grands coups de reins qui satisfaisaient ses instincts primaires. Arcbouté sur Christine, il tenta d’attraper ses cheveux, mais en vint ; puis claqua maladroitement la fesse et… il s’immobilisa en elle, profondément et grotesquement, lui aussi grogna comme un animal.
Il laissa sa pine jaillir son jus jusqu’au bout, lorsqu’une voix sortit de nulle part brisa le « charme ».
- Maman ? Mais qu’est-ce que tu fais ?
Robin observait le plus « débile » de ses amis planté dans sa mère.
- Robin ! Non !
- Mais en réalité, tu n’es qu’une salope !? Tu te fais sauter par mes amis alors que je te donne tout mon amour ? Je croyais que notre amour était exclusif ?
Christine se libera de l’emprise et remonta son shorty pour aller raisonner son fils, mais celui-ci filait déjà vers sa voiture. Subitement, la « chaudasse » ralenti en sentant un copieux jus refouler de sa chatte, inonder sa dentelle et couler sur l’intérieur d’une cuisse.
- Robin non !
- Sale pute !
Mal à l’aise, elle tenta d’aller le rejoindre…
- Je t’aime.
- Va te faire foutre !
- Non, c’est toi que je veux !
L’Audi de Robin recula et parti brutalement. Christine, éplorée, se tourna vers ses deux amants qui fuyaient déjà son regard.
- Tous les deux, vous devriez partir.
- D’accord Madame.
Elle passa deux heures à pleurer dans le canapé, puis elle s’en alla se doucher.
Durant plusieurs jours, elle l’appela jusqu’à cinq fois, mais à chaque coup, elle tombait sur le répondeur à qui elle disait les mêmes mots : « Je suis désolée et je suis bien consciente que je te suis redevable ».
Un nouveau weekend passa sans nouvelle de Robin. Elle meubla ses journées avec son chagrin et ses obligations professionnelles.
Un matin, un appel lui redonna goût à la vie. Bien que le ton de Robin fût froid et empreint d'une assurance qui blessa son cœur, elle se moquait de ce détail : l'essentiel était qu'il échangeait avec elle. Cependant, ce n'était qu'à travers un monologue et une requête à laquelle il l'obligea à adhérer, faute de quoi, il la quitterait définitivement.
La nuit était tombée sur le quartier de la gare. Le bar laissait partir quelques fêtards, sous le regard d’un jeune homme à bord d’une Audi A3. Au passage pour piéton, un SUV stoppa devant deux ivrognes, puis la grosse voiture poursuivit sa route pour se garer quelques mètres plus loin.
Robin roula une cigarette avec les restes de sa barrette de flow. Il l’alluma et tira une grande bouffée en découvrant la conductrice sortir du même véhicule que sa mère.
Il expira la fumée en savourant les détails de la tenue de la racoleuse : elle portait une étroite mini-jupe sur des bas et escarpins. Depuis son poste d’observation, Robin pouvait découvrir la transparence d’un chemisier sur un soutien-gorge noir : il inspira une longue bouffée...
La femme au carré court, frisé et plongeant marchait sur le trottoir en direction du bar dans lequel elle n’entre pas. Un homme bedonnant et alcoolisé la remarqua en allumant sa cigarette.
- Qu’est-ce que tu fais ici ma mignonne ?
- Laissez-moi !
- Tu n’es pas une habituée toi ! Combien pour une pipe ? 50 ?
Christine ne répondit pas et l’homme détailla les rondeurs de sa poitrine.
- 100 ?
L’homme n’attendis pas et porta sa main sur un sein qu’il pressa vulgairement de ses gros doigts.
Christine se déroba.
- Cassez-vous connard !
Il la bouscula en bougonnant, mais elle répliqua en lui administrant une gifle qui refroidit définitivement le porc.
Christine s’éloigna sous l’œil nerveux de son fils. Une voiture pleine de jeunes occupants arriva en sens inverse et ralenti en identifiant « la garantie d’une bonne fin de soirée », mais Robin démarra violement et fonça sur la voiture, avant de freiner.
Il fit un appel de phare et ouvrit sa fenêtre en direction de sa mère.
- Monte !!!
Christine hâta ses pas vers l’Audi et Robin démarra sur les chapeaux de roue en priant pour ne pas être pris en chasse.
Durant tout le temps du trajet qui les menaient au centre d’une ville, tous les deux n’échangèrent aucune parole. Robin termina par stationner sa voiture… devant un hôtel trois étoiles. Les prémices d’un violent procès s’annonçaient imminents, les respirations s’accéléraient crescendo et Robin préféra esquiver en sortant le premier.
À l’accueil, l’hôtesse se montra réservée à la requête d’un jeune homme aux allures de mineur. Son regard critique n’en restait pas là , il se posa aussi sur cette femme à l’écart. Robin, agacé, dégaina sa carte d’identité qui tempéra les interrogations de l’hôtesse.
Dans le hall, à distance, Christine tentait de cacher son embarras aux regards incendiaires qui s’affichaient chez les vieux couples de touristes qui l’identifièrent comme une prostituée « ramassée » par un jeune homme.
En échange d’une carte magnétique, il régla sa note en liquide et il l’accompagna d’un billet de cinquante euros.
Le couple s’éloigna vers l’ascenseur sous le regard gourmand d’un serveur qui jouit, sourire aux lèvres, de la transparence du chemisier. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et tous les deux montèrent.
La cabine décolla et Robin s’immobilisa en face de sa mère : elle existait à ses yeux et elle esquissa un subtil sourire à la juvénile autorité. Il releva la mini-jupe et glissa sa main dessous… pour poser ses doigts sur un fragile bout de tissu.
- Tu es humide… Déjà . Ça te fait mouiller de faire le trottoir ?
- Je le fais pour toi : comme je te l’ai promis.
Christine refusa d’ouvrir de nouvelle hostilité sur leur jeu. Dans quelques minutes, elle lui dirait ses quatre vérités, à l’abri des oreilles inquisitrices. Robin se retira pour se poser à côté d’elle en attendant que les portes s’ouvrent à nouveau.
- Le vice me ronge mon chéri.
La mère de Robin sortie la première, son sauveur, tourmenté hésita deux secondes, il porta ses doigts aux narines, avant de se décider, le visage empreint de rougeurs...
Il vérifia le numéro de chambre sur sa carte, puis laissa son regard glisser sur le derrière qui se balançait de gauche à droite sur une démarche mal assurée par des talons particulièrement hauts.
- Au fond à droite.
A l’approche de la porte, une érection le rassura, avant de le décontenancer. Il chercha le regard de sa mère pour vérifier qu’elle n’avait pas vu son excitation.
Dans la chambre, Christine précipita ses pas dans un coin.
- Il faut que l’on parle Robin !
- Tais-toi !
Il la bloqua contre le mur et l’obligea à lui tourner le dos en manipulant ses gestes : il lui fit poser les mains contre la paroi froide et il releva l’étroite mini-jupe jusque sur le haut des fesses.
Il s’agenouilla, posa ses mains sur les deux miches nues sensuellement mises en valeur par une paire de bas et un fragile string qui se perdait dans un énigmatique sillon.
Son animosité arracha un soupire pervers à sa mère. Il mordit la peau fraiche, elle se cambra, puis il descendit ses mains sur ses bas, avant de faire glisser le bout de tissu sur quelques centimètres…
Il se redressa sur ses jambes et dégaina, il prit son sexe entre ses doigts et le pressa sur la vulve, son gland coula pour se mélanger à la liqueur divine. L’odeur lui montait à la tête, il commença à pousser dans ce trou qui l’avait vu naitre, Christine se cramponna contre le mur, elle ferma les yeux, avant d’ouvrir en grand la bouche pour expirer tout l’air de ses poumons sur une grimace et une révélation.
Robin savoura son triomphe et commença à s’activer ; leurs gémissements se synchronisèrent… des minutes… La colonne de chair fouilla inlassablement le délicieux fourreau, d’avant en arrière, longuement…
Il s’immobilisa, Christine frissonna et il se retira sur un coup de reins. Il la saisit par les épaules, elle chancela sur ses talons, s’emmêla les jambes et il la poussa sur le lit où elle chuta vulgairement sur les fesses.
L’inquiétude dans le regard, elle finit par le poser sur lui qui ôtait son pantalon. Elle eut juste le temps d’ôter son string et son chemisier que son fils vint s’allonger sur elle, il tira sur les bonnets et agressa un téton qui s’était dressé pour le défier. Il le mordit et un cri sortit de la gorge. La bouche aspira le bout de chair écarlate, il le téta, le mâcha en sentant avec plaisir l’inconfort de sa mère.
Entre deux bouffées d’oxygène, il pressa la poitrine, avant de se dresser sur un bras et lui ordonner qu’elle se retourne.
Elle se posa à quatre pattes sur le lit et il planta à nouveau son dard dans le trou béant. Il redoubla d’intensité, submergé par les désirs qui n’avaient jamais cessés de le tourmenter. Il entama une série de puissants coups de reins qui expulsèrent les gros seins hors du soutien-gorge, Christine se laissa distraire par la naissance d’un plaisir au fond de son ventre, elle ferait tout ce qu’il voudrait pour que cette débauche ravage sa sexualité torturée.
Dressée sur ses bras depuis un temps trop long, Christine s’effondra sur les coudes et chercha une position moins douloureuse. Elle plaqua sa poitrine et son visage sur le lit, qui doucement, sous les coups de boutoir, commençait à ressembler à un champ de bataille. Robin grogna, poussa un cri en enserrant les hanches fermement et il s’immobilisa en elle : Christine cria sa surprise, Robin se vidait en elle et il reprit ses coups de reins pour honorer de nombreuses années de frustration. Les copieuses rasades qu’il déversait, inondaient l’utérus et son plaisir ne cessait d’être attisé. Robin resta planté en elle et son poids ne tarda pas à peser sur la croupe tendue, Christine décida de s’allonger plus confortablement sur le ventre, sa fente habitée par une verge non rassasiée… Robin s’éternisa en elle, il fit un minimum de geste pour se retirer de cette fente et il s’aida de sa main pour diriger son gland vers cet autre orifice qui faisait fantasmer tant de ses copains.
Sa mère trembla au contact de l’ogive… qui força le passage, la porte ne résista pas longtemps, avant d’engloutir l’érection tout entière.
Robin recommença à s’animer.
- Ça passe bien ? Tu es lubrifiée ?
- Humm… Je ne voulais pas avoir mal comme avec ton père. Humm...
Robin dégagea une main qu’il plaça sur la bouche de sa mère et il entama un va et vient délicat et inconfortable.
Christine savourait cet amour, bâillonnée et volontairement soumise à ce tronc qui limait délicatement son rectum. Sa chatte coulait de tous les plaisirs sur le dessus de lit.
Elle dégagea les doigts, essoufflée et tourna la tête vers l’arrière.
- Tu veux que je vienne sur toi ?
- Oui maman.
Les corps fatigués réagirent au bout de quelques secondes. Robin se retira d’elle, il se posa sur le côté, le sexe lourd, avant de s’allonger sur le dos. Sa mère à genoux caressa le jeune corps, effleura ce sexe, le branla, avant de l’enjamber simplement pour se trouver en cavalière face à l’élu de son cœur. Elle saisit le sexe et le guida vers son strict orifice qui avala à nouveau la démesure.
Robin bandait fort en découvrant sa mère sur lui, cuisses ouvertes, empalée, fesses contre couilles, la chatte lisse, béante et coulante. Il caressa les cuisses gainées de noir et Christine se souleva en position accroupie pour aller venir sur l’érection.
Elle ferma les yeux sur les vagues de plaisir qui commençait à envahir son corps et elle s’activa un peu plus sur les caresses de Robin qui avait une expertise sur les clitoris de petites sottes. Robin lutta pour ne pas jouir et permettre à sa mère d’atteindre la « révélation ». Elle avait regagné son autorité et il se devait d’obéir, malgré la provocante exhibition de ses gros seins qui valsaient grossièrement devant ses yeux. Christine exhibait sans pudeur sa petite rondelle, soi-disant « étroite » pour un gigot qui la défonçait patiemment. La vision de sa mère « déchirée » et grimaçante ne cessait pas d’entretenir sa virilité.
Soudainement, le visage de Christine se déforma sur les actes pervers qu’elle se prescrivait sur la grosse queue ; le plaisir naissait dans ses entrailles et rapidement, il incinéra sa fierté : elle gueula comme une « truie », ses hurlements résonnèrent partout entre les murs de la petite chambre d’hôtel. Elle s’obstina à maintenir la jouissance de ses entrailles, avant de s’affaisser et s’immobiliser sur le mandrin…
Porté par une fierté perverse, Robin entama - son propre couplet - en la pilonnant odieusement, leurs regards s’affrontèrent jusqu’à sa propre explosion d’une incroyable intensité qu’il délivra tout au fond des intestins.
Après une dizaine de minutes, les effets du vertige se dissipèrent pour laisser la place à une forme de plénitude. Rapidement, un « vide » tomba sur leurs désirs défendus et la fatigue eu raison d’eux.
Ils s’allongèrent, en chien de fusil, l’un planté dans l’autre et le sommeil les terrassa.
Stop ou encore ?
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