La veuve interdite 3 – Troubles sentiments

Récit érotique écrit par Patrick de Toscane le 24-05-2024
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Catégorie Inceste

Trois semaines venaient de s’écouler depuis cette nuit à l’hôtel qui avait fortement perturbé leur vie ; elle avait révélé aux protagonistes d’une même famille, la puissance de leur dépendance, mais aussi, un échantillon d’une perversité grandissante.

 

En fin de matinée, Robin profita de l'absence de son professeur de technologie pour passer un moment tranquille au centre commercial, loin de ses deux meilleurs copains avec qui il était en froid.

Après une heure, son esprit n’en pouvait plus d’être harcelé par les images de sa mère sur lui, empalée jusqu’à la garde, cuisses ouvertes sur une fente qui n’avait de cesse de le faire bander.

Sur le trottoir qui ne menait nulle part, il était conscient que cette relation était vaine, motivée uniquement par la douleur d'un deuil commun. Cependant, chaque rencontre avec ce monument de sensualité repoussait à plus tard la perspective du "game over".

Il l'avait dans la peau, et penser à elle était synonyme de souffrance : celle de ne pas la toucher, de ne pas être contre elle ou dans sa bouche, sa chatte ou au fond de son… : Non ! Il était à présent toxicomane et dépendant de tous ces orifices.

 

À force de penser à Christine et malgré la musique qui déviait ses pensées les plus salaces, ses pas le guidèrent dans le quartier où était installé l’agence immobilière que dirigeait sa mère.

Il hésita à entrer, cela faisait bien cinq ans qu'il n'y avait pas mis les pieds. Il mit ses écouteurs sur pause, sans les retirer, et entra. Personne ne fit attention à lui, à l'exception de l'hôtesse, légèrement débordée, qui le reconnut.

 

-         Robin !!! Ça fait un bail ! Tu vas bien ?

-         Toujours bien quand un cours n’a pas lieu. Ma mère est disponible ?

-         Non, elle est en visioconférence avec le siège. Patiente un peu.

 

Son menton pointa la machine à café où deux sièges faisaient face à deux autres. Robin s’y dirigea et prit un « court Â», avant de s’asseoir « face Â» à l’hôtesse qui ne tarda pas à s’en aller vers le photocopieur. Il ne relança pas sa musique et préféra partir aux nouvelles sur les réseaux sociaux.

 

Au bout d’un instant, deux employés « premiers de la classe Â» se présentèrent à la machine, Robin leva brièvement le regard par politesse, mais les deux employés l’ignorèrent.

 

-         Elle déchire aujourd’hui. Tu ne trouves pas ?

-         Elle a pris des seins. Mon dieu, elle te percute et tu tombes raides ! (Ils ricanèrent) A l’enterrement de son mari, elle m’a presque fait bander cette chienne.

-         Tu ne vas pas tarder à aller te branler au toilette…

-         â€¦ et je ne serai pas le premier, hein ?

-         Je donnerai une fortune rien que pour la déglinguer une fois !

 

Tous les deux réalisèrent, enfin, la présence du jeune homme qui ne les regardaient pas et à la vue des écouteurs, ils continuèrent sur un autre thème.

 

Dans son bureau, Christine marchait de long en large devant la caméra de son ordinateur en contestant les nouvelles dispositions d’un règlement hérité de la fusion avec un grand groupe. Sur l’écran, six hommes vieillissants écoutaient attentivement les requêtes de cette femme en tailleur jupe courts sur bas noirs. Lorsqu’elle se posa dans son fauteuil, un bouton de son chemisier sauta pour dévoiler les galbes de deux seins.

Soudain, elle fit les gros yeux et s’emporta devant l’assemblée d’hommes murs et chauds : à l’agitation qu’il y avait dans son décolleté, il était permis de se demander si elle portait un soutien-gorge. Étaient-ils captifs de sa séduction ? Christine se moquait de la réponse ; l'essentiel était qu'elle captivait les regards de ses supérieurs. Elle ne doutait pas d'obtenir gain de cause pour proposer une nouvelle discussion qui tournerait cette fois-ci en faveur de l’agence.

 

Robin pianotait sur son téléphone pendant que la conversation de nos deux collègues s'orientait vers les différents « travers » de la récente fusion. Soudain, le bruit du photocopieur attira les regards, et Christine sortit de son bureau, lunettes sur le nez ; ses talons hauts frappèrent le sol. Le regard des deux mâles se posa sur les jambes gainées de la patronne. Robin voulu rester discret, mais déjà, une envie de baise inspira son membre qu’il ne voulut pas réprimer. Il était son fils et il était de son devoir d’honorer impudiquement la femelle qu’elle était.

Robin la dévora du regard ; c’est vrai qu’elle avait pris un peu de cuisses, mais ici, cela satisfaisait tout le monde ; en voyant l’un des types se caresser, il eut envie de lui dire : « J’ai baisé votre directrice par les trois trous ! », mais dans un tel contexte, il n’avait rien à gagner à révéler sa relation incestueuse.

 

Absorbée par l’importance de son dossier, Christine avait occulté ce qu’il se passait autour d’elle et lorsque les deux « cochons Â» passèrent à côté d’elle, elle ne s’offusqua pas de leurs regards dans son profond décolleté.

 

Son rouge à lèvres était une nouveauté dans sa séduction, tout comme ses tenues plus généralement courtes où elle aimait exhiber ses cuisses et laisser se créer les pensées cochonnes. Robin remarqua le départ de l’un des types vers les toilettes, alors que l’hôtesse sortit sa patronne de ses pensées pour lui indiquer d’un geste, une présence qui illumina son visage.

 

Dans le bureau aux stores fermés, Christine termina de classer son dossier, pendant que son fils, fébrile, préféra rester debout.

 

-         Qu’est-ce qui me vaut ta visite ? Tu veux déjeuner avec moi ?

-         Le prof de techno a dû partir en urgence et du coup, je suis allé trainer et de penser à toi, m’a mené à toi. Je voudrais te parler d’un truc pas prévu.

-         Quoi ?

 

Robin hésita, fuit son regard immoral pour préférer faire quelques pas.

 

-         Pour valider un module de ma formation de technicien, j’ai trouvé un stage au Mans, chez un sous-traitant d’Audi. Un contact peut m’héberger.

 

Christine s’inquiéta.

 

-         Mais combien de temps pars-tu ?

-         Deux semaines.

-         Tu n’as rien de plus près ? Alors tu vas me laisser seule deux semaines ? Je vais faire quoi moi ?

 

Une forme de colère monta en elle, mais elle retint son autorité, avant que Robin ne la prenne soudainement dans ses bras.

 

-         Je ne pars pas pour toute une vie. Juste deux semaines.

 

Elle accepta l’élan et à son tour, elle enroula ses bras autour de lui.

 

-         Mais qu’est-ce que je vais faire sans toi ? Tu sais, tu dois me rassurer, veiller sur moi. Tu es le mâle de la maison !

 

Il la serra un peu plus fort contre lui, ses mains dans son dos, ses doigts aux creux de ses reins, alors que l’eau de toilette remontait du profond décolleté.

Leurs corps se séparèrent.

 

-         Maman, depuis cette nuit à l’hôtel, je sens bien que ce n’est plus pareil. Deux semaines permettront de redynamiser notre couple ?

 

Christine posa ses fesses contre le bord de son bureau, elle croisa les bras sous sa poitrine qui se rassembla, avant d’accepter de soutenir son regard.

 

-         C’est ma faute. Je ne suis pas bien en ce moment. Nous sommes comme ça, tu dois apprendre à respecter nos sauts d’humeurs.

-         J’y suis peut-être allé trop fort ?

-         Tu m’as bien défoncée, ça « oui Â». Parfois, j’ai encore quelques douleurs, mais tu as été parfait ! J’ai de la chance de t’avoir.

 

Christine baissa les yeux sur la bosse de son fils.

 

-         Mais tu bandes petit cochon ! Depuis quand ?

-         Depuis que tes employés parlent de toi.

-         Qu’est-ce qu’ils disent ?

-         Que tu as pris des seins, il y en a même deux qui se branlent fréquemment dans les toilettes pour se décharger de la pression que tu leur mets.

-         Arrête ! Ça m’excite d’y penser. Tu ne veux pas faire ton stage ici ?

-         Bah non.

 

Elle baissa les yeux sur l’érection avec embarras.

 

-         J’espère que tu n’es pas venu chercher une gâterie !

-         Bah…

-         Je te préviens, c’est non ! Je n’ai pas envie de baiser dans mon bureau, je ne suis pas à la recherche de popularité !

-         Allez maman ! Il est midi et tous tes employés sont entrain de partir déjeuner.

-         C’est non !

-         C’est parce que tu es enceinte ? Tu m’as avoué que tu ne prenais plus la pilule depuis la mort de papa !

 

Christine décolla ses fesses du bord de son bureau et ouvrit de grands yeux.

 

-         Mais que racontes-tu ?

-         J’ai bien vu que tu as changé ! Je me suis renseigné, tes seins ont grossit et tu n’as jamais été aussi radieuse.

-         Mais n’importe quoi ! C’est tordu comme réflexion, le sexe te monte véritablement à la tête, Robin !

-         Suce-moi ! Juste un peu !

-         Robin ! Tu vas cesser ce caprice : tu es grand et c’est non ! Ce soir, je te promets ma bouche, mais pas ici !

-         Toujours plus tard ! Pfff…

 

Précipitamment, Robin pris son sac à dos et quitta le bureau. Christine haussa les sourcils, serra les dents, avant de soupirer.

 

Un quart d’heure plus tard, elle tira un trait sur son déjeuner en faisant les cent pas dans son bureau. Ce petit pervers avait réussi à réveiller ses sens sur le doux son de la lubricité. Elle fouilla le tiroir de son bureau pour y prendre une paire de gants en latex et quitta les lieux.

Elle se dirigea vers le comptoir de l’accueil où elle s’assura de sa tranquillité. Elle marcha en direction des toilettes des hommes, se retourna sur ses pas pour se rassurer et entra. La ventilation murmura à ses oreilles… Elle enfila ses gants et dirigea ses pas vers les deux portes ouvertes, puis revint vers les lavabos dont elle inspecta le fond. Elle se pencha vers la poubelle et la fouilla, mais renonça rapidement.

 

En cet après-midi, elle était arrivée au bout de sa charge de travail de la journée et Christine rentra directement à la maison. Après un long bain, elle s’habilla pour honorer une promesse.

Dehors, la nuit était tombée, elle avait baissé les volets roulants du salon pour ne pas livrer ses charmes au voisinage. Pendant un instant, elle fantasma un récit sur sa vie de débauche et elle mouilla en imaginant des centaines d’hommes se crosser sur ce qu’elle avait prévu de faire sur le canapé.

Elle posa son portable sur la console dans l’entrée et traversa le salon, vêtue d’un léger kimono court qui révélait uniquement des bas de couleur blanche.

Elle s’empara de sa tablette numérique, avant de s’asseoir, puis s’allonger. Elle chercha une position confortable, son kimono s’ouvrit un peu pour dévoiler la lisière de ses bas blanc et surtout, un « ticket de métro Â» de couleur châtain clair.

 

Après quinze minutes de recherche infructueuse, la porte d’entrée se déverrouilla…

 

-         Maman ? Tu es rentrée ?

-         Depuis longtemps. Tu es en retard !

 

Robin fit brièvement un pas vers le salon pour apercevoir derrière le dossier du canapé le visage de sa mère.

 

-         Tu aurais pu me mettre un texto !

-         J’ai rempli des papiers pour mon dossier de stage.

 

Il sortit dans le hall pour y poser son sac à dos et s’en alla dans la cuisine. Christine décida de se lever, elle dénoua sa ceinture et retira son habit.  

Elle s’afficha, immobile, en bas, soutien-gorge blanc et sexe offert. Au bout d’un long instant, Robin revint et s’arrêta net devant la vision.

 

-         Bon sang ! Oh c’est une surprise !

-         Tu avais oublié ? Ne me dit pas oui ?

 

Il se précipita vers elle et la prit dans ses bras.

 

-         Excuse-moi pour mes gamineries de tout à l’heure. Je me demande comment je vais faire pour tenir deux semaines sans te toucher.

-         Tu te masturberas en pensant à moi et on pourra se faire des Visio. Je trouve cela très pervers non ?

-         Tu pourrais aller voir ailleurs si tu veux, je ne t’en voudrai pas surtout que le sexe te rend si belle.

-         Robin, ce ne sont pas des choses qu’un fils dit à sa mère !

 

Il relâcha son emprise et la dévora une nouvelle fois des yeux, avant d’insister sur les deux bonnets blancs qui moulaient parfaitement sa poitrine. Maman aurait pu faire du porno pensa-t-il.

Il posa ses mains sur le tissu et de ses doigts, il pressa le galbe d’un nichon.

 

-         Ã‡a te plait ? Je n’étais pas certaine.

-         Tu me rends fou !

 

Elle posa sa main sur la braguette de son fils, ses doigts sentirent la crampe qui lui disait rarement « non Â». Robin ne bougea pas, esclave d’un amusement pervers.

Elle retira sa main pour mieux prendre la sienne et l’emmener jusqu’au canapé où ils prirent simplement place. Il se tourna vers elle, caressa ses bas et souffla de plus en plus fort, avant d’accueillir sa bouche.

Il bourra la poitrine d’une main, pendant qu’il déboutonnait son pantalon. Leurs langues s’enlacèrent tout en provocation, il descendit ses doigts entre les cuisses, heurta quelques poils, avant d’effleurer cette fente que tous les hommes voulaient visiter avec plus ou moins de brutalité.

Le plaisir étreint le corps de Christine et elle s’abandonna aux vices, de son ventre à ses seins et elle quitta sa bouche pour s’adosser contre le dossier du canapé. Les doigts gourmands bousculaient ses grandes lèvres, son clitoris et ce soir, c’était encore mieux que d’habitude. Les délices de Robin lui rappelaient ses premiers jeux sexuels de jeunesse, ceux qu’elle apprit et pratiqua avec ses oncles. Elle releva les mains et les bras pour s’étirer, expira une profonde tension.

 

-         S’il te plait, fait moi jouir avec ta bouche. Bouffe-moi la chatte, je ne sais pas ce qu’il m’arrive, mais j’en ai trop envie !

 

Robin hésita, ses doigts s’humidifiaient aux contacts de la vulve gonflée. Il se leva et termina de se mettre fesses nues. Son sexe bandé entrava ses mouvements, il fixa le regard de sa mère qui sorti sa langue en fixant plutôt ce gigot qui, la fois dernière, avait sévèrement rudoyé son petit trou.

Robin s’agenouilla devant le canapé entre les cuisses ouvertes, Christine releva le bassin, les genoux et posa ses pieds sur les épaules de l’aventurier. Il aida son dessert à venir un peu plus près de sa bouche.

Tout était prêt, l’odeur naturelle de sa fente et le défi de la faire jouir. Il planta le bout de sa langue directement dans son trou et remonta jusqu’au clitoris. Il huma la petite touffe de poils et fouilla au corps le clitoris qui ne tarda pas à se tendre. Robin l’aima à coup de dents, de langue, avant de préférer jouer avec les petites lèvres d’une chatte prédisposée aux gros jouets.

Christine malaxait ses bonnets d’où une aréole s’échappa, elle la maltraita et elle ferma les yeux pour savourer sur sa chatte trempée le souffle chaud de l’animal.

Elle ronronna.

 

-         Oh oui, vas-y mon chéri.

 

Robin était à cran et ne savait pas encore ce qu’il allait faire de cette purée qui endolorissaient ses couilles. Il glissa deux doigts dans la fente humide et viola le gros bourgeon avec ses mâchoires de « jeune sauvage Â».

Les cheveux de Christine s’emmêlèrent sur son visage, elle tourna la tête sur le côté, bouche ouverte, à la recherche probable d’air. Elle suffoqua et attira l’inquiétude de Robin qui vit son regard se fermer sous les assauts victorieux de sa langue. Elle geignit, grimaça et ses doigts saisirent familièrement ses gros tétons ; elle les tira vers le haut, insista en même temps que le vice envahissait son ventre : elle cria, une seconde fois et s’abandonna sur un troisième long râle de soulagement… Christine cambra son bassin vers la jeune bouche sur laquelle la jouissance continua de provoquer quelques convulsions ponctuées de gémissements. Sa mouille alimenta un peu plus la bouche de son fils qui accepta d’y glisser une langue gourmande.

 

Robin se redressa sur les genoux, il passa son avant-bras sur sa bouche, puis son regard découvrit les yeux humides de larmes et un rictus de bonheur sur la bouche de sa suceuse.

Machinalement, il joua avec sa pine, nerveuse et chargée, avant de caresser les bas. Il se perdit dans ce regard qui disait tant de choses.

 

-         Je n’ai pas de mot. Merci. Excuse-moi de crier sur toi. Mes hormones me tourmentent…

-         Mais tu as peut-être raison.

-         On est assez fort pour ne pas se formaliser. Tu veux venir dans ma bouche ?

 

Son regard détailla les larmes qui coulaient sur ses joues, avant de son index, lui suggérer de se tourner.

Christine s’assis lourdement, avant de lui tourner le dos et planter ses genoux dans le cuir dans le sens de la largeur. Elle posa les avant-bras sur le dossier et tourna la tête pour suivre l’inspiration de son fils.

Robin agrippa les deux hanches entre ses mains, il caressa ces fesses que les employés de l’agence rêvaient tous de claquer. Il rapprocha son mandrin, elle cambra le derrière et robin planta juste la tête de son gourdin dans le trou trempé : il poussa… précautionneusement au cas où, puis bouleversé par une douceur captivante, il précipita le reste de son membre au fond du trou bouillant. Christine soupira, impressionnée, et Robin commença à gérer son impatience à coup de reins prudent.

 

-         Tu es un bon garçon. Allez ! Tu peux tout donner à maman.

 

La vue des deux lourdes outres en liberté sonna le tocsin et Robin accéléra ses coups de reins. Les deux mains emprisonnant le fessier, il réalisa son privilège et pensa à ces litres de sperme que les hommes s’imaginaient répandre en elle.

Il s’immobilisa au fin fond d’elle. Il ouvrit la bouche et libéra un cri plein et lourd comme ce jus épais qui fuyait de son sexe. Il aurait aimé être plus loin et il gicla plus férocement, ses couilles se révulsaient, douloureuses pour lui offrir tout son amour sous formes d’un sperme copieux et bouillant.

Elle se redressa, son dos contre le corps mâle et repu, elle peina à tourner la tête pour aller chercher un baiser qui anima une nouvelle fois les reins de Robin.

Il ceintura sa taille de ses bras, plaqua son corps humide contre le sien et c’était l’un dans l’autre qu’ils construisaient un bonheur interdit.

 

Soudain le téléphone portable de Christine sonna… il firent abstraction de la sonnerie vintage. Robin s’écroula sur la gauche du canapé et Christine resta paralysée par la contrainte d’une pose qu’elle avait gardée trop longtemps. Sa main se posa à plat sur sa fente juteuse, avant qu’elle ne se lève en enfilant son kimono. Elle se dirigea vers la console dans l’entrée et constata l’identité de l’appelant : « maman portable Â».

Elle s’isola dans la cuisine et rappela…

 

Robin s’était effondré dans les profondeurs du canapé.

 

-         Robin ? Robin, mon amour ?

 

Ces mots résonnaient avec urgence et dans un sursaut d’énergie, il releva la tête en exécutant un minimum de gestuelle ; il tourna la tête vers cette femme au kimono court et ouvert, honorée par ses reins, mais qui semblait en proie à une mauvaise nouvelle.

 

-         Qu’y-a-t-il ?

-         Ton grand père Michel, mon père est mort !

 

L’adrénaline poussa Robin hors du nid douillet et il prit sa mère entre ses bras. Le deuil venait de nouveau frapper à leur porte.

 

Quelques heures plus tard, dans sa chambre éclairée par une unique lampe de chevet, la tristesse avait envahi le visage de Christine. Son esprit s’était plongé dans ses souvenirs... et plus particulièrement l’année de son BAC juste après ses 18 ans.

Robin vint la rejoindre et il s’allongea à côté d’elle.

Il la prit dans ses bras et s’endormit le premier.

Les minutes devinrent des quarts d’heures et Christine ne trouvait toujours pas le sommeil…

Elle se rappela ce premier et… dernier été. Ses parents venaient de divorcer et elle était allée rejoindre son père en Auvergne où il avait décidé de prêter main forte à ses frères dans l’exploitation.

C’était une autre époque, une autre mentalité… Elle se rappela son manque de copains – copines, ses excursions dans le haras voisin, elle se rappela des deux frères de son père, Robert et Thierry, de leur virilité…

Elle glissa une main entre ses cuisses et se caressa en pensant à la folie qu’elle avait fait naître dans l’esprit des… trois hommes. Elle refusa de développer ses souvenirs, mais le vice des lecteurs allaient-ils l’encourager à révéler d’autres moments interdits ?

 

OUI ou NON ?

 

 


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24-05-2024 0 838

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